LE MARGINAL
Publié le 06/12/2021
Extrait du document
LE MARGINAL
Réalisation
Scénario
Directeur de la photographie
Musique
Production
Distribution
Durée
Jacques DERAY (1983)
Jean HERMAN, Jacques DERAY
Xavier SCHWARZENBERGER
Ennio MORRICONE
Cerito/Les Films Ariane
Cerito/Gaumont
100 minutes
INTERPRÉTATION
Le Commissaire Jordan Jean-Paul BELMONDO
Meccaci Henry SILVA
Rojinsky Pierre VERNIER
Linda Carlos SOTTOMAYOR
Le copain et ancien flic Tcheky KARYO
L'inspecteur Simon Roger DUMAS
Alfred le chimiste Michel ROBIN
Baldi Claude BROSSET
L'HISTOIRE
Le Commissaire Jordan est envoyé à Marseille pour frapper un grand coup dans le milieu des trafiquants de drogue et faire cesser notamment les activités de Sauveur Meccaci, l'un des plus « gros bonnets « de cette Mafia. Mais les méthodes expéditives de Jordan ne plaisent pas à tout le monde, et on le renvoie à Paris, dans un petit commissariat où l'on pense qu'il devrait se calmer ! Effectivement, Jordan n'y trouve que de piètres inspecteurs (tel le dénommé Simon) tota¬lement soumis au pouvoir central et passant leur temps à interroger de petits voleurs minables ou des prostituées. Seul l'inspecteur Rojinsky tranche sur cette grisaille et aide Jordan à se remettre sur la piste du trafiquant Meccaci.
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Les Fiches de Monsieur Cinéma Histoire Illustrée ·du Cinéma Mondial
LE MARGINAL
Réali sati on
Jacques DERA Y (1983)
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Jean HERMAN, Jacques DERA Y
Xavier SCHWARZENBERGER
Ennio MORRICONE
Directeur de la pho to graphi e . ... ..... ...... ........
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Producti o n ..... ........ ....... ......
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Cerito/Les Films Ariane Cerito/Gaumont Distributi on Dur ée 100 minute s
INTERPRÉTATION
Le Commi ssaire Jo rd an
Me ccaci ............ .....•.. •.... • .. ........ ...
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Jean-Paul BELMONDO Henry SILVA Rojin sk y ............ ...... ..... ...... ...... ....
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Pierre VERNIER Linda ........ ..
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Carlos SOTIOMA YOR Tcheky KARYO Le copain et an cie n nie ...... ...... ... ............
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Roger DUMAS Alfred le chimi ste ... .
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Michel ROBIN Baldi .... .... ......•.. .
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Claude BROSSET
L'HISTOIRE
Le Co mmi ssair e Jo rdan es t e n voyé à Mar seille
p o ur fr apper un g rand coup d a ns le milieu des trafiquant s de dro gue et fair e ce sser notamm ent
l es acti v ités de Sau veur Me ccac i, l' un des plu s " gros bo nnets ,, d e ce tt e Ma fia.
M ais les
m é thode s expéditiv es de Jord an n e plaise nt p as à
t o ut le m o nde , e t on le renv o ie à Paris, d ans un
p etit commi ss ari at où l'o n p en se qu'il d ev rait se
c alm er! E fîec tive ment , J o rd an n 'y trou ve que de
piètr es in sp ect e urs (tel le d én o mm é Sim on) to ta
l e ment soumi s au po uvo ir ce ntral et p ass ant leur t emp s à int e rrog er d e petit s vo le urs min abl es ou
d es pro stitu ées.
Seul l' in sp ec teur R ojinsk y tranch e s ur cette grisaille et aide Jo rd an à se
r e m e ttre sur la piste du trafiqu ant Mecca ci.
J o rd an va enqu ête r d ans différ ent es direc -
tions : une filière turqu e; la rec herc he d'un ce r
tain Alfred , dit le "chimi ste '" bi en c o nnu pour ses lien s avec la pègre ; un anci en copain ni e, qui a quitt é la po lice et dont J o rd an so upçonn e qu'il
es t financé p ar de s gangs te rs ...
peut- ê tre mêm e
ceux qu'il che rche ; en ch emin , J o rdan re n contre
é g a lem ent une prostitu ée s ud- améri ca ine - Lind a - avec laqu elle il va avo ir quelque s
m om ent s de te ndre sse ...
Mais la m ac hin e du ban ditism e se met en mar ch e : le co pain de Jo rdan et
Alfr ed l e c himi ste sont assass inés c ar ils en sava ient t ro p ; e t J ord an e st fin alement conduit jusqu'à Me ccaci par un cert ain Baldi.
Mais le commi ssair e naire le piè ge.
li tir era plu s v ite que
l e tru and et l'élimin era définiti vement.
LA PETITE HISTOIRE
br ûle r B elmo ndo ? » : « fi me pa raîr 1111 p cu 10111- mair e de se déba rrasser de Bel mo n do m le 1rai1a111 LE MARGI NA L esr la no u vell e pr eu ve d e ce
qu 'on p eut app el er le « ph én om èn e B elm o ndo "· pui squ e ce t a c1e ur re pr ése 111e à ce jo ur la v aleur la
plu s sûre d u ciném a fra nçai s en fe rm es de rece l t es (30 à 50 milli ons d e francs en re cel/ es d' exploira ti on) e t d e nombr e de spec tat eu rs (plu s d' un mill ion
s ur Pari s pou r pres que 1o us ses derni ers films).
Ce
s u ccès es/ au ssi le résul1a1 d'une c ampa gn e s oigne u se ment orc h es 1rée par la mais on d e dis1riburi on
(C ERITO) que Belm ondo possè de avec son a ssocié
R en é Cha1 eau; pour LE MARGI N AL.
le bud ge1 promoti on a é té à lui se ul de 3 milli ons de fran cs.
E n m êm e 1emp s, /'écri vain e 1 cinéa sie A lexandr e Astruc déclarait.
dan s un anicle inlirul é "Faw-il
de pr od ui1 d e publici1 é . ..
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Il y a du Doug las Fair banks e n lui.
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» Qua111 au réa-: /isa1e ur Jacqu es D eray, il déclar e a voir voulu ,,, «re n oue r a vec un cinéma d'é m otion , d'a tmo- :~ sph ère .
où la qualit é de l'h o mm e es t plu s imp o r- ~ 1ant e qu'un mécani sm e qui /Ourn e san s jamai s :il faiblir ...
re1rouv e r aus si le souffl e du film noir, sa g> dy namiqu e pr opr e ...
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