Databac

Le Loulav

Publié le 23/05/2020

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Le Loulav. Ce document contient 355 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Religion.

« Le Loulav Lors de la prière du matin, afin de prononcer la bénédiction concernant ce rite, on prend le Loulav dans la main droite avec les trois branches de myrte à droite de la branche de palmier et les deux branches de saule à gauche.

Ces trois éléments sont liés.

Le cédrat est dans la main gauche.

Après la bénédiction rituelle, on joint les deux mains et on agite les quatre composants en direction des quatre points cardinaux, vers le haut et le bas.

Le jour du Chabbat, on ne fait pas le rite du Loulav.

Ce rite trouve son origine dans le fait que Soukkot fut à l’origine une fête agricole, la fête de la Récolte (Hag Haassif).

Il s’agissait là de remercier Dieu pour toutes les espèces végétales qui existaient. Ainsi le Loulav, le palmier, est un arbre qui donne des fruits mais n’a pas de parfum. Le Hadass, le myrte, ne donne pas de fruit mais possède un bon parfum.

Le saule, Arava, ne produit ni fruit ni parfum, alors que le cédrat (l’Etrog) possède fruits et parfum. Les commentateurs ont proposé une analyse symbolique de cette classification.

L’homme juif peut être défini par sa connaissance de la Tora (parfum) et par sa pratique (fruit), par l’esprit (parfum) et par l’action (fruit).

Le bouquet du Loulav représente tout le peuple juif dans sa diversité : – les personnes qui pratiquent et étudient sont représentées par l’Etrog : fruits et parfum ; – ceux qui pratiquent en toute simplicité sans recherche sont le Loulav, la branche de palmier ; – ceux qui étudient et possèdent l’esprit de la Tora sont représentés par le myrte ; – enfin ceux qui ne pratiquent pas et n’étudient pas ont pour symbole le saule. Le bouquet agité rituellement avec ses quatre composants souligne que chacun a autant de valeur s’il participe à la construction de la communauté.

Le rabbin n’a pas plus d’importance qu’un simple fidèle, et un érudit n’a pas à se glorifier de son savoir.

Seule compte la joie d’être ensemble autour d’un projet commun.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles