Le journaliste P. Lepape écrivait en 1982 dans Téterelle qu'en tant que critique il était gavé de confidences autobiographiques dont il n' [avait] que faire », faisant ainsi allusion à la masse de livres de ce type lancés sur le marché depuis quelques années, et à leur qualité souvent médiocre. En évoquant de façon précise vos réactions de lecteur d'oeuvres et de fragments d'oeuvres autobiographiques, vous direz si vous partagez la sévérité du critique.
Publié le 09/12/2021
Extrait du document
Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Le journaliste P. Lepape écrivait en 1982 dans Téterelle qu'en tant que critique il était gavé de confidences autobiographiques dont il n' [avait] que faire », faisant ainsi allusion à la masse de livres de ce type lancés sur le marché depuis quelques années, et à leur qualité souvent médiocre. En évoquant de façon précise vos réactions de lecteur d'oeuvres et de fragments d'oeuvres autobiographiques, vous direz si vous partagez la sévérité du critique.. Ce document contient 0 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Littérature
Si parler de soi paraît aujourd'hui évident ce qui explique la vogue des ouvrages autobiographiques sur le marché du livre, ce genre littéraire est cependant relativement récent. Il est en effet lié à l'émergence de la notion d'individu ce qui suppose une certaine évolution des idées, l'apparition d'un certain humanisme. Les premières autobiographies apparaissent au XVIe siècle (on connaît une vie de Benvenuto Cellini, le célèbre orfèvre et sculpteur de la Renaissance italienne) et au XVIIIe siècle avec Les Confessions de Rousseau. Le genre aujourd'hui est florissant : quel acteur, quel chanteur, quel journaliste ou quel homme politique ne publie ses souvenirs ? Parfois pourtant, la quantité l'emporte sur la qualité ce qui déclenche des jugements sévères comme celui de P. Lepape qui avoue être « gavé de confidences autobiographiques dont il n'[a] que faire ». Comment peut-on expliquer le nombre élevé d'ouvrages autobiographiques aujourd'hui ? Quelles qualités suppose une autobiographie ? Quel intérêt peut-on trouver à ces lectures ?
Si parler de soi paraît aujourd'hui évident ce qui explique la vogue des ouvrages autobiographiques sur le marché du livre, ce genre littéraire est cependant relativement récent. Il est en effet lié à l'émergence de la notion d'individu ce qui suppose une certaine évolution des idées, l'apparition d'un certain humanisme. Les premières autobiographies apparaissent au XVIe siècle (on connaît une vie de Benvenuto Cellini, le célèbre orfèvre et sculpteur de la Renaissance italienne) et au XVIIIe siècle avec Les Confessions de Rousseau. Le genre aujourd'hui est florissant : quel acteur, quel chanteur, quel journaliste ou quel homme politique ne publie ses souvenirs ? Parfois pourtant, la quantité l'emporte sur la qualité ce qui déclenche des jugements sévères comme celui de P. Lepape qui avoue être « gavé de confidences autobiographiques dont il n'[a] que faire ». Comment peut-on expliquer le nombre élevé d'ouvrages autobiographiques aujourd'hui ? Quelles qualités suppose une autobiographie ? Quel intérêt peut-on trouver à ces lectures ?
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Le journaliste P. Lepape écrivait en 1982 dans Télérama qu'en tant que critique il était « gavé de confidences autobiographiques dont il n'avait que faire », faisant ainsi allusion à la masse de livres de ce type lancés sur le marché depuis quelques années, et à leur qualité souvent médiocre. En évoquant de façon précise vos réactions de lecteur d'oeuvres et de fragments d'oeuvres autobiographiques, vous direz si vous partagez la sévérité du critique.
- Le journaliste P. Lepape écrivait en 1982 dans Télérama qu'en tant que critique il était « gavé de confidences autobiographiques dont il n'[avait] que faire », faisant ainsi allusion à la masse de livres de ce type lancés sur le marché depuis quelques années, et à leur qualité souvent médiocre. En évoquant de façon précise vos réactions de lecteur d'oeuvres et de fragments d'oeuvres autobiographiques, vous direz si vous partagez la sévérité du critique.
- On rapproche souvent le cinéma de la littérature écrite, et les réalisateurs eux-mêmes ont eu bien des fois recours au roman ou au théâtre, leur empruntant soit des oeuvres déjà accomplies, soit une forme familière au public. Cependant, un critique, Jean Limousin, écrivait à propos d'un metteur en scène célèbre : « La justesse des notations, leur portée sur le public, tiennent à ce qu'elles sont pensées directement « en cinéma » par un homme intelligent qui découvre aussitôt l'équivale
- Les oeuvres de fictions sont-elles le meilleur moyen que les auteurs ont pour convaincre leur lecteur, le faire adhérer à sa thèse ? Comment convaincre ?
- « Un vrai classique, [...] c'est un auteur qui a enrichi l'esprit humain, qui en a réellement augmenté le trésor, qui lui a fait faire un pas de plus [...] ; qui a rendu sa pensée, son observation ou son invention, sous une forme n'importe laquelle, mais large et grande, fine et sensée, saine et belle en soi ; qui a parlé à tous dans un style à lui et qui se trouve aussi celui de tout le monde, dans un style nouveau sans néologisme, nouveau et antique, aisément contemporain de tous le