Le critique A Bellessort affirme : « le succès du roman repose sur notre éternel besoin qu'on nous raconte des histoires où nous nous reconnaissons tels que nous voudrions être ». Partagez vous ce point de vue ?
Publié le 20/12/2021
Extrait du document
Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Le critique A Bellessort affirme : « le succès du roman repose sur notre éternel besoin qu'on nous raconte des histoires où nous nous reconnaissons tels que nous voudrions être ». Partagez vous ce point de vue ?. Ce document contient 1394 mots soit 3 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format PDF sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en: Français / Littérature.
« Corrigé disponible. »
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Commentez ce jugement d'André Bellessort : « Le succès des romans repose sur notre éternel besoin qu'on nous raconte des histoires où nous nous reconnaissons tels ... que nous voudrions être. »
- Dans son roman, les Faux-Monnayeurs, Gide prête à son personnage de romancier, Edouard la réflexion suivante : « Il se dit que les romanciers par la description trop exacte de leurs personnages, gênent plutôt l'imagination qu'ils ne la servent et qu'ils devraient laisser chaque lecteur se représenter chacun de ceux-ci comme il lui plaît ». Partagez-vous ce jugement ? Vous expliquerez et discuterez le point de vue énoncé par André Gide en vous appuyant sur vos lectures personnelles et l
- Dans le Dictionnaire égoïste de la littérature française, Charles Dantzig affirme : « La poésie ne se trouve pas que dans les vers ». Vous direz si vous partagez son point de vue dans un développement argumenté, en vous appuyant sur les textes du corpus, sur ceux que vous avez étudiés en classe ou lus personnellement.
- « Il n'y a point de fatalité dans le roman ; au contraire le sentiment qui y domine est d'une vie où tout est voulu, même les passions et les crimes, même les malheurs ». Partagez-vous ce point de vue ? Vous pouvez vous appuyer sur votre connaissance de l'Assommoir de Zola.
- Le poète Saint-John Perse affirme : La personnalité même du poète n'appartient en rien au lecteur, qui n'a droit qu'à l'oeuvre révolue, détachée comme un fruit sur son arbre. Partagez-vous son point de vue ?