le cri
Publié le 17/05/2020
Extrait du document
«
LE CRI
Ce tableau est une peinture à l'huile et à la pastel d'Evard Munch réalisé en 1893.
L'artiste l'a
nommé «le cri».
C'est une composition qui appartient au domaine de l'art figuratif
( L'art figuratif est un style artistique, en particulier dans la peinture qui utilise comme modèles des objets du
réel, les déforme ou les change pour transmettre un message).
Sa bouche nous laisse penser qu'il est en train de crier pourtant en même temps il se bouche
les oreilles.
Ce qui pourrait nous faire penser à une sorte de cri intérieur que l'artiste a
essayer de représenter en se représentant de cette façon.
Ce personnage est l'autoportrait de l'artiste alors atteint d'une hémorragie du vitré (perte
indolore de la vision) et accompagné par la mort tout au long de son existence.
Le tableau peut nous faire penser a une sorte de crise d'angoisse avec un personnage en train
crier.
Le personnages central est étrange on peux penser à un fantôme car le corps ondules et
flotte dans les airs ou à un cadavre avec le crane chauve et le regard vide, ce qui renforce
l'angoisse de l'artiste face à la maladie et à la mort.
On aperçoit, à l'arrière-plan, d'autres personnages, indifférents: ils n'entendent pas, ne
veulent pas entendre sans doute, ni le cri de cet homme au plus profond de la détresse .
Cela
souligne la grande détresse et la solitude de l'artiste.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- CRI, n.
- Vous commenterez et discuterez ce jugement de René Pomeau en l'appliquant au texte des Liaisons dangereuses : « Ce disciple de Rousseau déteste le pathos. Ce qui lui tient à coeur, il le laisse en creux [...]. Le mot clé de l'oeuvre, c'est le cri du libertin à Danceny tenté par la carrière de l'homme à bonnes fortunes : « Ah ! croyez-moi, on n'est heureux que par l'amour ! ». Laclos a établi cette vérité par la preuve inverse. »
- La poésie est un cri, un message, une alchimie des structures et des mots. Discutez, commentez et illustrez ?
- A propos des personnages du théâtre de Corneille, un cri¬tique écrit : « Ils ne seraient pas des héros s'ils ne devaient à chaque instant lutter contre eux-mêmes... Dans toutes les circonstances critiques, ils laissent percer leur sensibilité. » Vous vous attacherez à mettre en valeur cette sensibilité des héros et des héroïnes des grandes tragédies cornéliennes ?
- A COR ET A CRI