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Le catharisme

Publié le 15/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Le catharisme Ce document contient 2724 mots soit 6 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Religion.

« --- Informations sur l'utilisateur --- Sujet que l'utilisateur souhaitait consulter : (Id: ) Corrigé non disponible - Ne pas se connecter. Nom : garcon SANDRINE E-mail : [email protected] Id user : 109960 Pour visualiser son profil suivez ce lien : http://www.devoir-de-philosophie.com/compte/sansan989.html --- Informations sur le document transmis --- Titre : Les Cathares Catégorie: Histoire-géographie Envoyé par téléchargement --- Contenu du document: --- Le catharisme tire son origine d'un mouvement qui est apparu au Xeme siècle dans les pays de l'orient grâce à desinfluences complexes et lointaines, et s'est ensuite répandu en Europe occidentale au XIeme siècle en passant parla Turquie et l'Italie.

Mais malgré sa large propagation dans l'Occident, le catharisme ne restera présent que dans laSud de la France et dans quelques îles encore sous l'autorité de l'Italie ; les cathares restent alors minoritaires auxautres religions.

Ils ont ensuite été traités d'hérétiques ; les cathares critiquaient beaucoup les pratiques religieusesdes catholiques et des autres religions même si le catharisme tient une partie de ses croyances de ces religions, etsurtout des catholiques.Qu'est-ce qui différencie alors le catharisme des autres religions chrétiennes ?On parlera, en première partie, du catharisme en général, puis, en deuxième partie, de la société cathare et enfin,en troisième et dernière partie, de la fin du catharisme. Le catharisme se dit souvent comme étant une religion chrétienne, mais elle s'appuyait seulement sur le NouveauTestament, surtout sur les Evangiles, car l'Ancien Testament était, pour les cathares, considéré comme l'histoired'un Dieu différent du leur.Le monde donnait une vision dualiste aux cathares : Dieu, appelé Bon, était entièrement bon et parfait, et nepouvait donc pas être a l'origine des malheurs du monde.

Il existe alors deux créations : le bien et le mal.

Ainsi,Satan, « dieu » du mal, est a l'origine de tout ce qui est matériel (ce qui est mauvais), et tout ce qui est spirituel(ce qui est bon) et est donc l'œuvre de Dieu.L'Homme est alors un mélange des deux : sa part divine, c'est-à-dire son esprit et son âme, est emprisonne par uneenveloppe matérielle maléfique qui est le corps.

Pour se faire, les anges de Dieu ont été séduits par Satan qui les aensuite emprisonné dans des corps fait de chair.

L'âme est alors contenue dans le sang et donna la vie à l'Homme.Ce dernier comprend alors trois différents constituants : le corps étant mauvais, l'esprit, bon et immortel, et l'âme,source de vie et création maléfique.

L'Homme étant alors une création imparfaite et corruptible, il aura donc uncommencement et une fin.

Cette fin viendra lorsque les esprits auront réussi à quitter leur prison de chair pourretourner à Dieu.

Mais, selon les cathares, l'esprit étant immortel, il ne sera libéré que par le consolament, sinon ilcontinuera à se réincarner pour l'éternité jusqu'à ce que le consolament soit acquis.

Alors, le Mal ayant perdu ses «mélanges » deviendra plus rien ; son accomplissement constitue sa perte.En procédant de la même manière, les cathares ont conclu que le Christ, considéré par Rome comme l'incarnation deDieu en chair, ne peut pas être Dieu sous cette forme.

Le Christ est alors un esprit envoyé par Dieu et est aussi sonfils, venu pour rappeler aux hommes leur part divine et non l'enfant conçu par Dieu et né de la Vierge Marie, et leMessie de l'Eglise catholique. Le catharisme a aussi des pratiques mais aussi une société très différentes des autres religions.

Les catharespratiquants doivent donc se soumettre a une vie difficile et très hiérarchisée. La société cathare était très hiérarchisée ; dans cette hiérarchie on y trouvait d'abord les évêques, ensuite il yavait les diacres, puis, plus bas, il y avait les parfaits, et enfin, tout en bas de cette hiérarchie, on y retrouvait les. »

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