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« LE BONHEUR EST UN IDÉAL, NON DE LA RAISON, MAIS DE L'IMAGINATION, FONDÉ UNIQUEMENT SUR DES PRINCIPES EMPIRIQUES. » Kant

Publié le 10/06/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : « LE BONHEUR EST UN IDÉAL, NON DE LA RAISON, MAIS DE L'IMAGINATION, FONDÉ UNIQUEMENT SUR DES PRINCIPES EMPIRIQUES. » Kant Ce document contient 1500 mots soit 3 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Philosophie. L'impératif qui commande les actions à accomplir pour atteindre le bonheur n'est pas un impératif catégorique, mais seulement un impératif hypothétique : « L'impératif qui se rapporte au choix des moyens, en vue de notre bonheur propre, c'est-à-dire la prescription de la prudence, n'est toujours qu'hypothétique; l'action est commandée, non pas absolument, mais seulement comme moyen pour un autre but. »

« 1 / 2 « LE BONHEUR EST UN IDÉAL, NON DE LA RAISON, MAIS DE L'IMAGINAT/ON, FONDÉ UNIQUEMENT SUR DES PRINCIPES EMPIRIQUES.

» Kant Le philosophe allemand Emmanuel Kant (1724-1804) a déjà rédigé son premier grand livre de métaphysique (ou plus exactement de critique de la métaphysique), Critique de ln raison pure (1781), lorsqu'il entreprend une première ap­ proche de la morale avec les Fondements de la métaphysique des mœurs (1785) qui précéderont de trois ans son grand ouvrage sur la morale : Critique de la raison pratique ( 1788).

On connaît le résultat de cette critique de la méta­ physique : sur les questions de l'âme (le sujet profond de notre expérience interne), du monde (le tout complet de la réalité, objet de notre expérience externe), et de Dieu (considéré comme fondement .suprême de la totalité des êtres), nous ne pouvons que nous livrer à des spéculations métaphysiques qui dépassent les limites de l'expérience effective possible.

Un savoir métaphysique transcendant, portant sur la réalité non sensible (les noumènes), est impossible.

Voilà ce que révèle la démarche critique, qui s'interroge sur les conditions a priori de possibilité de la connaissance.

Une fois ce travail accompli, Kant cherche à appliquer cette même méthode critique à la morale, en s'interrogeant cette fois sur les conditions de possibilité de l'action morale. 2 / 2. »

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