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L'ANALYSE DE LA PASSION CHEZ STENDHAL

Publié le 10/06/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : L'ANALYSE DE LA PASSION CHEZ STENDHAL. Ce document contient 1500 mots soit 3 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Littérature. L'activité littéraire de Stendhal a laissé beaucoup de ses contemporains indifférents. Ce n'est qu'après sa mort que paraîtront Lucien Leuwen, son Journal, la Vie de Henry Brulard et les Souvenirs d'égotisme. On ne découvrira vraiment son œuvre qu'à la fin du XIXe siècle; elle connaîtra alors un succès qui ne s'est jamais démenti depuis.   Écrivain français né à Grenoble en 1783, mort à Paris en 1842. Officier pendant la campagne d’Italie (1800), il fut enthousiasmé par le pays qu’il venait de découvrir. Il commença par un Journal qu’il tint jusqu’en 1823. Il participa, sans éclat, à l’épopée militaire impériale. De 1816 à 1821, il se fixa à Milan et fut ensuite consul de France à Civitavecchia. D’abord auteur d’impressions de voyages et de critiques (Rome, Naples et Florence, 1817 ; Histoire de la peinture en Italie), il s’affirma comme écrivain dans De l’amour (1822). Il fit paraître deux romans, Annonce (1827), et Le Rouge et le Noir (1830), que la critique qualifia de cynique. Neuf ans plus tard, il achevait son second chef-d’œuvre, La Chartreuse de Parme, qui enthousiasma Balzac. Sa renommée, désormais, ne cessa de grandir. « Nul n’a mieux enseigné à ouvrir les yeux et à regarder », en disait Taine. On lui doit encore Souvenirs d’égotisme (1832), Les Mémoires d’un touriste (1838), Lucien Leuwen (1834-1835), dont il n’existe que la première partie,, et sa Correspondance.

« L' œuvre I ittéraire L'ANALYSE DE LA PASSION Le jeune Stendha l rêvait d'écrire •des comédi es comm e Mo lière•.

Ses pre miers essais sont décevants ma is il s'engagera plus tard aux côtés de Hugo dans la bata ille romant ique et écrira un petit essai con tre la dram aturgie classique: Racine et Shakespeare (1823 ).

C'est surtout en réd igean t son Journal (commencé en 1801 -il a 18 ans) qu'il fait sa plume.

À Milan, il entreprend des ouvr ages de critique musica le et pictur ale: les Vies de Haydn, Mozmt et Métastase , et une Histoire de la peinture en Italie .

Le prem ier livre qu'il signe du nom de Stendha l est Rome, Naples et Florence (1817).

recueil de nota tions sur la socié té italienne.

De retour à Paris, il observe le fonctio nnement de la pass ion et, sous l'influenc e des Idéologues qui cherchen t une ana­ lyse exacte des facultés huma ines , il rédige De l'Amour (182 .2), essa i psychologique à prétention quasi scientifiq ue; il y oppose notamment le coup de foudre au travail plus lent de oe qu' il appe lle la •cristallisa ­ tion• amoure use , laque lle couvre l'être aimé de perfectio ns et modè le la réali té sur le dési r.

UNE ŒUVRE POUR LA POSTÉRITÉ? Son premier rom an, Armance (1827) , est un échec .

Mais son acti­ vité littéra ire contin ue avec une Vie de Rossini (1823) et des Prome­ nad es dans Rome (1829) .

C'est en 1827 qu'un fait divers paru dans la Gazette des Tt'ibunaux, l'affai re Berthet, lui inspire son prem ier grand roman , Le Rouge et le Noir, qu'il publie en 1830 .

Ce livre suscite la curiosité ma is déconcerte.

En 1834 , i entreprend Lucien Leuwen qui voud rait être une satire des mœurs françaises sous la Mo narch ie de Juillet , mais l'œuvre reste inachevée.

Il rapporte de ses voyages les Mémoires d'un touriste, travaille à la Vie de Henry Brulard, son auto­ biographie.

En 1838, alors qu' il est à Par is, il dicte avec arde ur, en. »

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