La vie morale, La conscience. L'expérience morale. Le devoir. La responsabilité. Le bien et le mal. Les vertus. Les grandes conceptions de la vie morale (Quelques exemples)
Publié le 16/05/2020
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1 / 2 La vie morale.
La conscience.
L'experience morale.
Le devoir.
La responsabilite.
Le bien et le mal.
Les vertus.
Les grandes conceptions
de la vie morale (Quelques exemples).
La vie morale et le probleme de l'action.
Un probleme estpropre-
ment une tache proposee.
Ce premier sens du mot semble particulie-
rement apte a reveler la portee de l'expression : probleme moral.
Si l'idie de probleme evoque habituellement une difficulte
resoudre, une question d'ordre speculatif ou pratique, la notion qui s'y joint ici (grace a l'adjectif s moral )) introduit le souci d'une
valeur qu'il s'agit d'affirmer, en la definissant certes, mais surtout
en la realisant.
Ainsi le probleme moral propose-t-il une ache gull
nous importe d'accomplir pour donner une signification a la vie, pour
transferer l'existence du plan des faits (oil nous la subissons) a celui
de la valeur nous agissons pour la diriger).
La morale represente
donc le probleme de l'action et si l'on y distingue deux parties, rune
theorique et l'autre pratique, c'est qu'il convient de connaitre la voie
dans laquelle on s'engage, de fonder les principes que l'on invoque
pour justifier les actes.
D'une part, les hommes affirment,
spontanement semble-t-il
(comme par une tendance naturelle), des valeurs qu'ils nomment
absolument et qui orientent leur activite (...
le urai, le beau, le bien...);
La vie morale,
La conscience. L'expérience morale.
Le devoir. La responsabilité.
Le bien et le mal.
Les vertus.
Les grandes conceptions
de
la vie morale (Quelques exemples).
La vie morale et le problème de l'action. Un problème
est propre
ment une
tâche proposée. Ce premier sens du mot semble particuliè
rement apte
à révéler la portée de l'expression : problème moral.
Si
Vidée de problème évoque habituellement une difficulté à
résoudre, une question d'ordre spéculatif ou pratique^ la notion qui
s'y joint ici
(grâce à l'adjectif « moral ») introduit le souci d'une
valeur qu'il s'agit d'affirmer, en la
définissant certes, mais surtout
en la
réalisant. Ainsi le problème moral propose-t-il une tâche qu'il
nous importe d'accomplir pour donner une signification
à la vie, pour
transférer l'existence du plan des faits (ou nous la subissons) à celui
de la valeur (où nous agissons -pour la diriger).
La morale
représente
donc le problème de l'action et si l'on y distingue deux parties, l'une
théorique et l'autre pratique, c'est qu'il convient de connaître la voie
dans laquelle on s'engage, de fonder les principes que l'on invoque
pour justifier les actes.
D'une part,
les hommes affirment, spontanément semble-t-il
(comme par une tendance naturelle), des valeurs qu'ils nomment
absolument et qui orientent leur
activité (...
le vrai, le beau, le bien...);
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