La vie de Gérard de Nerval

« La vie de Gérard de Nerval Gérard Labrunie est né en 1808, à Paris.

Il est rrüs en nour­ rice à Loisy, près de Mortefontaine (Montagny dans l'œuvre).

Son père est nommé médecin de la Grande Armée.

Sa femme le suivra en Autriche et en Allemagne.

Elle meurt en 1810, en Silésie.

L'enfant est élevé à Mortefontaine par son grand-oncle maternel, Antoine Boucher.

Le père, de retour en 1814, s'ins­ talle avec son fils à Paris.

De 1822 à 1826, Gérard fait ses études au collège Charle­ magne ; dès la f�i de celles-ci il publie ses premiers vers.

Il fait paraître une traduction de Faust en 1827.

En 1830, il participe à la célèbre bataille romantique d'Hernani.

En 1831- 1832, il est emprisonné par deux fois.

Il fréquente avec d'autres Jeunes-France le « Petit cénacle» du sculpteur Jehan Dusei­ gneur.

C'est vraisemblablement vers 1833 qu'il fait la connais­ sance de l'actrice-cantatrice Jenny Colon.

En 1834, à la mort de son grand-père maternel, Nerval hérite.

Il voyage alors dans le midi de la France et en Italie.

1835-1836 marquent l'époque de la Bohème galante ...

Après s'être ruiné dans la fondation d'une revue de luxe, il fait ses débuts dans le journalisme.

En 1839, il est à Vienne.

L'année suivante, il rencontre Jenny Colon et la pianiste Marie Pleyel à Bruxelles.

En 1841 a lieu la première crise de folie avérée; Nerval est interné rue de Pic­ pus et ensuite à Montmartre.

Après la mort de Jenny Colon, 1843 est l'année du voyage en Orient, dont il recomposera le récit durant les années suivantes.

En 1848, il donne des traductions des poésies de Heine.

L'année 1850 est marquée par différents voyages dans le Valois ; il se rend aussi en Allemagne.

En 1851 est publié Voyage en Orient; cette année-là, Ner­ val fait une chute chez un imprimeur à Montmartre.

En 1852, il est de nouveau malade (une de ses pièces n'a pas eu le suc­ cès escompté) ; il est conduit à la maison Dubois.

À sa sortie, il voyage en Hollande et fait des excursions dans le Valois.

Sont. »