La science est-elle dénuée de toute croyance ?

« Votre texte passera automatiquement à la ligne pour laisser une marge au correcteur (Marge obligatoire sur chaque feuille, ne pas modifier). Commencez à saisir votre devoir ci-dessous : Tout d’abord, on croit parce qu’on ne sait pas, et quand on sait, on cesse de croire : croyance ou science.

Si la croyance tombe sans preuve, par une sorte de divination alors elle lui ôte la stabilité propre à la science.

La croyance est le substitut du savoir, obtenu non au terme de discutions menées à loisir mais au contraire selon la voie abrégée de l’opinion majoritaire.

Rappelons que la connaissance vient du latin cognito qui signifie l'action de connaître.

Acte par lequel l'esprit ou la pensée saisissent l'objet ou se le rendent présent, en s'efforçant d'en former une représentation exprimant parfaitement cet objet.

Et qu’une connaissance scientifique est quelque chose que l'on prouve, qu'on connait à travers une expérimentation et dont on connait les différents principes.

Donc, c'est une connaissance rationnelle car on connait toute les étapes de la formationde cette connaissance.

Puis la croyance vient du latin credere qui signifie croire, faire foi. Assentiment de l'esprit à une vérité sans justification rationnelle, certitude non rationnelle, synonyme de foi,c'est une adhésion incertaine, par opposition au savoir.

Alors, la science est-elle dénuée de toute croyance ? Ensuite, la croyance désigne non seulement un haut degré subjectif de conviction, mais un engagement intérieur, et, si l'on peut dire, une implication de tout l'être dans ce en quoi ou celui en qui l'on croit1 ».

En effet, la croyance, du latin credere « croire » est généralement définie comme un état mental d'adhésion à une idée, une opinion, une doctrine ou une idéologie, conduisant le sujet à tenir quelque chose pour vrai.

La croyance est alors subjective puisqu'elle implique une prise de position du sujet.

Plus encore, cette subjectivité conduit la philosophie a associé la croyance au doute ou à l'inexactitude, en la jugeant comme une adhésion incertaine à une idée.

Elle semble alors s'opposer au savoir scientifique, caractérisé par un ensemble de connaissances claires et certaines sur un domaine spécifique par des principes évidents 2. »