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LA RÉSISTANCE

Publié le 18/05/2020

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« Histoire LA RESISTANCE L' 11111istice - el 1'11llem � L'armée française ne peut résister au déferlement allemand et Paris tombe le 14 juin 1940 .

Le président du Conseil, Paul Reynaud, démissionne le 16 et son successeur, Les ctttlltitts te .tt'tlt6r1Hn•t•t le maréchal Pétain, demande l'armistice dès le 17 juin.

Il est signé le 22 juin 1940 à Rethondes dans Toutefois � bo.lllitéa De CIIIIIODt que aix heures aprèa la signature d� l'armistice franco-italien le wagon même Dès le début de l'occupation allemande, en 1940, des Français refusant la défaite et la collaboration prônée par le gouvememe'!:t de Vichy entrent en résistance.

A Londres, la France libre du général de Gaulle continue la guerre aux côtés des Alliés et appuie les résistants de l'intérieur.

D'abord isolés et peu nombreux, ceux-ci se regroupent peu à peu en de puissantes organisations clandestines.

L a France de l'été 1940 est un pays traumatisé par sa terrible défaite face aux armées alle­ mandes.

À l'issue d'un mois de durs com­ bats, en mai-juin 1940, les armées françaises ont été écrasées par la Wehrmacht.

Les Allemands entrent dans Paris le 14 juin.

À Bordeaux, où le gouvernement s'est réfugié, le maréchal Pétain où l'armistice entre l'Allemagne et les Alliés avait été signé le 11 novembre 1918.

' Adolf Hitler a tout obtenu.

Les deux tiers du territoire français sont occupés et l'Allemagne garde deux millions de prisonniers français.

succède le 16 juin au président du conseil, Paul Reynaud, comme chef du gouvernement.

Chef militaire prestigieux de la Première Guerre mon­ diale, Philippe Pétain a été choisi comme dernier recours par la classe politique de la �ZZ Répu­ blique pour gouverner le pays vaincu.

Le 17 juin, Pétain annonce à la radio qu'il ordonne l'arrêt des combats et qu'il a demandé l'armistice à l'Allemagne.

Le gouvernement français reconnaît ainsi officiellement qu'il a perdu la guerre.

La France occupée À la suite de l'armistice, les Allemands occupent les deux tiers de la France, du nord-est jusqu'à l'océan Atlantique.

Cette partie du pays forme la zone d'occupation, directement administrée par le Reich.

Le reste du pays, la zone sud, reste sous contrôle du gouvernement du maréchal Pétain, à qui l'Assemblée nationale vote à une large majo­ rité les pleins pouvoirs constituants le L 'AIIemagn< p.

109 La France p.

1545 La Seconde Guerre mondiale p.

7 i _Hitler et le nazisme p.

1857 10 juillet 1940.

Le gouvernement Pétain s'installe à Vichy et inaugure une politique de collabora­ tion avec les autorités allemandes.

Cette attitude a pour but officiel d'épargner le maximum de souffrances à la France occupée.

Elle permet aussi aux milieux politiques d'extrême droite, lar­ gement représentés à Vic hy, de prendre leur revanche sur une démocratie parlementaire qu'ils détestent.

Le nouveau régime lance sa révolution nationale d'inspiration autoritaire et xénophobe, qui doit permettre la du pays.

Mais, en 1940, cet aspect idéologique du régime passe encore au second p�G^ pour la majorité des Français.

Ceux-ci, choqués par le désastre, font massivement confiance à Pétain.

L'esprit de résistance n'est encore le fait que de quelques-uns.

L'appel du 18 Juin Depuis Londres, Charles de Gaulle, général de brigade et sous-secrétaire dans le gouvernement Reynaud, lance le 18 juin 1940 un premier appel à la résistance sur les ondes de la BBC.

De Gaulle est convaincu que la défaite de la France n'est que provisoire et qu'il faut continuer la lutte contre le Il� Reich a'{eC la Grande-Bretagne, qu'il a rejointe le 17 juin.

A la tête du mouvement des Français libres, qui ne réunit encore à l'été 1940 que quelques milliers d'hommes- dont des mili­ taires comme Leclerc et Kœnig, quelques poli­ tiques comme le socialiste Pierre Cot et de simples citoyens -, il se veut le représentant légitime de la «seule France>> , celle qui se bat et qui récuse le régime de «trahison>> de Vichy.

Son espqir en la victoire se fonde sur la certitude que les Etats-Unis, voire l'URSS, entreront en guerre tôt ou tard contre l'Allemagne.

La France libre est renforcée entre août et novembre 1940 par le ral­ liement d'une partie de l'empire colonial fran­ çais, en Afrique de l'Est (Cameroun, Congo, Tchad, Oubangui-Chari, Gabon).

En revanche, en septembre 1940, de Gaulle échoue à se rallier les autorités d'Afrique occidentale, fidèles à Vichy.

En France, les gaullistes de Londres commencent à se faire connaître d'auditeurs encore rares par. »

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