La religion et la morale ont-elles la même finalité ?
Publié le 03/09/2020
Extrait du document
Ci-dessous un extrait traitant le sujet : La religion et la morale ont-elles la même finalité ?. Ce document contient 1023 mots soit 4 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format PDF sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en: Philosophie.
«
La
religion et la morale ont-elles
la même finalité ?
COUP DE POUCE
■ Analyse du sujet
- Morale et religion sont fréquemment liées : il s'agirait ici de vérifier
si cette liaison se justifie par la finalité des deux attitudes.
- On prendra un soin particulier à définir ce que peut être la finalité de
la morale, dont le repérage ne va pas de soi.
- Si la finalité est commune, y a-t-il lieu d'instaurer une hiérarchie
entre les deux domaines ?
■ Pièges à éviter
- Ne pas examiner l'une après l'autre les différentes morales, en les
comparant à chaque fois à « la » (laquelle ?) religion : cela risquerait
d'être interminable, répétitif, et surtout incomplet.
- De même, il serait maladroit de commencer par établir des distinc
tions entre les différentes formes de religion: il s'agit ici de la religion en
général.
- Il n'y a pa s davantage lieu de discuter de la validité de telle ou telle
morale ou religion : il s'agit ici de considérer les deux domaines comme
des attitudes qui existent.
CORRIGÉ
[Introduction] La préoccupation morale et l'attitude religieuse se manifestent dans
toutes les sociétés humaines ; elles empruntent des formes variables, et
sont en conséquence diversifiées.
On peut s'interroger sur leurs origines
historiques ou leurs fondements, mais une telle recherche risque de ren-.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Devoir philo Deux sources de la Morale et de la Religion, Bergson : l'obéissance des individus au devoir moral
- « il fallait, dit un critique contemporain, édifier une politique sans droit divin, une religion sans mystère, une morale sans dogme »
- Un critique contemporain définit l'esprit du 18e siècle en ces termes: Il fallait édifier une politique sans droit divin, une religion sans mystère, une morale sans dogme. Dans quelle mesure et avec quelles nuances ce jugement se trouve-t-il vérifié par les oeuvres du 18e siècle que vous connaissez ?
- Comment expliquer que l'apologue, dont la finalité est d'exposer une morale, un enseignement, soit en même temps un récit plaisant à lire ?
- Un critique contemporain définit l'esprit du XVIIe siècle en ces termes : « Il fallait édifier une politique sans droit divin, une religion sans mystère, une morale sans dogme. » Dans quelle mesure et avec quelles nuances ce jugement se trouve-t-il vérifié par les œuvres du XVIIIe siècle que vous connaissez?