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la psychologie

Publié le 06/12/2021

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INTRO A LA PSYCHO

Qu’est ce que la psychologie ?
Qu’est ce que ce n’est pas ?
Pourquoi ?

C’est une science humaine, par le hasard de l’histoire et des lettres. Cet enseignement été soumis à la philosophie et à sa morale. Elle n’était pas scientifique. C’est étude des lois de fonctionnement de l’esprit tout en étudiant les diversités : les différences individuelles, culturelles …

Elle n’est pas et ce n’est pas pour être psychothérapeute. En comparaison avec le médecin généraliste qui a un certain nombre d’outils pour établir des diagnostics grâce au nombre de symptômes qui l’amène à penser que probablement le patient à une certaine maladie. Il prescrit des analyses en vue d’établir le diagnostic et fait une prescription. Il passe du jugement à la décision.

Le psychologue a appris un certain nombre de chose sur l’esprit, il établit également des diagnostics avec un certain nombre de symptômes et envoie le patient en « thérapie «.

Ce n’est pas non plus la psychanalyse. Elle est omniprésente en Argentine depuis la Seconde Guerre Mondiale, ainsi qu’en France (cf : Lacan)

Différences

La psychanalyse a été inventé par Freud au environ de 1900. Avec le contexte historique, les fondements n’ont pas changé depuis 1900, il y a certes quelques divisions de ce que Freud avait pensé de l’esprit humain. Au lieu d’aboutir à une discipline, elle s’est divisée en secteurs : en petits groupes d’individus, elle repose sur des idéologies, avoir des notions sur l’hypnose, l’hystérie, la ou les théorie(s) de l’évolution et sa conception de Freud sur le fonctionnement de la mémoire purement cognitif
de la personne.

L’hypnose

On rencontre ce phénomène dans des techniques de méditations orientales comme le yoga. Elle date des Sumériens qui pratiquaient cet accompagnement. Généralement il est admis qu’elle débuta au XVIIIe avec Mesmer et le magnétisme animal. Ce docteur présente une thèse sur l’influence des planètes sur les maladies humaines en pratiquant la guérison avec des fers aimantés … il utilise cette technique et se retrouve expulsé. Il travaille sur un groupe de patients.

3 grands mouvements vont se développés :

    - fluidisme : existence d’un fluide influençable capable d’influencer le patient à l’état spécial thérapeutique
    - neurophysiologie : Charcot rejette l’idée de fluide et s’appuie sur la neurophysiologie, croit en l’existence de modifications fonctionnelles du cerveau provoquées par des moyens artificiels, plus particulièrement la parole qui a une action curative dû à la suggestion

    - physiologie : Bernheim et Janet rejettent aussi la notion de fluide insistent sur la suggestibilité des gens, les modifications entraînent la suggestion

Freud va aller se former dans les 2 derniers courants de retour à Vienne.
Il prend la méthode cathartique : il s’agit de faire revivre un état d’hypnose des scènes oubliées par le patient et particulièrement celles qui ont eu une action traumatisante et pathologique.

Le symptôme vient d’un ensemble de syndromes qui sont à l’origine de la maladie. Ces symptômes disparaissent lorsque l’on répète au malade réveillé ce qu’il dit sous hypnose.

L’hypnose a quelque chose d’incertain, de mystique en générale.
Elle permet
de réduire temporairement les contractures hystériques.

L’hystérie psychologique

Les pathologies observées sans anomalies physiques sont la paralysie, les troubles de la parole et de la sensibilité, le coma psychogène, la crise pseudo-épileptique.

Charcot et Janet pensaient que l’hystérie a pour origine l’inconscient.
Charcot montra à plusieurs reprises qu’un hystérique n’est pas un simulateur, les symptômes étaient censés être reproduis ou suggérés sous hypnose et disparaissent au réveil.
Mais la guérison reste temporaire.

Dans la psychiatrie moderne tout est lié aux troubles somatophormes, c'est-à-dire que l’hystérie (latin>hystero=utérus) concerne que les femmes avaient leur utérus qui se baladait dans leur corps et qui créerait les symptômes hystériques, ainsi que l’exagération explosive des émotions.

Cas d’Anna O : souffrait de troubles hystériques graves, contractures, anesthésie, troubles du langage. Il la met sous hypnose en répétant ses mots, elle fait des récits tristes de son père, qui la soulage et fait disparaître les troubles. Il reconnaît l’influence traumatisante du souvenir émotionnel antérieur et trouve un traitement les récits sous hypnose. Les souvenirs pathogènes déclencheraient l’hystérie et pourraient être soigné par la méthode cathartique.
C’est un cas très controversé : elle ne fut pas guérie de ses maux. Ils proviendraient d’une frustration liée à l’éducation rigide de l’aristocratie juive orthodoxe viennoise et que ses troubles seraient apparus après les soins donnés à son père très autoritaire.
Après une année sans résultat elle est internée, et meurt
à la suite d’une névralgie faciale grave.

1893 : Charcot et Janet ont publié une explication préliminaire de l’hystérie.

Le traumatisme réel et la conversion hystérique de Freud

Sa 1e théorie la neurotica : un évènement est la cause d’un traumatisme psychisme, le symptôme physique est relié à un trouble psychique qui s’enracine dans l’histoire psycho-sexuelle du patient.

Les hystériques auraient été séduites et développeraient l’hystérie.

L’idée d’une conversion hystérique suppose qu’une tension pulsionnelle inconsciente ne trouve pour se décharger que le corps, il s’agit alors d’une expression symbolique de la représentation refoulée.

Le traumatisme psychique et la conversion hystérique

Freud estime que la psychanalyse n’a aucun moyen pour faire la différence entre un souvenir réel et un fantasme. Il décrira des souvenirs écrans qui sont des fantasmes de séduction.

L’hystérie fonderai donc sa sexualité sur le fantasme d’avoir été séduite.

Sandor Frenczi reproche l’abandon de la neurotica.

L’hystérie et les troubles somatophormes

La psychologie clinique et pathologique ainsi que la psychiatrie ont évolué dans leur approche de la psychopathologie.

En psychiatrie on reconnaît un trouble somatophorme mais pas totalement hystérique.

CIM : le trouble somatophorme est compris comme un trouble névrotique, mit au coté des troubles anxieux, cela concerne donc des aspects de la psychopathologie analytique

BSM : classification à théorique fonctionne par symptômes, le trouble somatophorme constitue une catégorie à part entière, abandonne la relation entre les troubles
somatophormes et la névrose.

La psychanalyse et la théorie de l’évolution

La théorie

Elle décrit les processus par lesquels les espèces se modifient au cours du temps et donnent naissance à de nouvelles espèces.

L’évolution dirigée par l’homme est un phénomène connu depuis des millénaires (OGM, clonage…)

Darwin a utilisé de nombreuses observations issues de la sélection des plantes et des animaux pour montrer ses hypothèses.

Lamarck, biologiste explique que l’évolution des espèces (1800) par la transmission à la descendance des caractères acquis au cours de la vie d’un individu. La transmission des caractères acquis par l’individu a été réfutée.

Darwin publie en 1860 L’origine des espèces , l’évolution ne se fait pas au niveau de la descendance mais progressivement avec le mécanisme de la sélection naturelle.

Fin XVIIIe Gregor Mendel approuve le mécanisme de transmission par les descendants par la sélection naturelle.

En 1910 le biologiste Devries découvre les mutations génétiques, les modifications aléatoires du code génétique permettent d’expliquer la variabilité naturelle des caractères individuels.

En 1940 quelques pionniers ont fondés la théorie synthétique de l’évolution qui englobe la génétique, la biologie et la paléontologie.

Mécanisme de l’évolution

La biologie moléculaire montre que l’évolution des espèces provient des mutations que subissent les gènes portés par les chromosomes.

La mutation se fait par les agents mutagènes comme les UV, ou par les défaillances des agents responsables de la réparation de l’ADN mal transmis ou traduis.

Pour l’une
des théories récentes de l’évolution, le stress provoqué par les facteurs externes est au 1er plan sur les causes de mutations.

La conception admise : le caractère aléatoire des mutations de l’ADN est compensé par les sélections de l’environnement.

La théorie de la récapitulation : conception fausse Haeckel

Chaque être vivant au cours de son développement récapitule l’évolution de son âge.

Haeckel affirme sur le plan biologique que l’ontogénie récapitule la phylogénie.

Au cours de l’embryogénèse un organisme traverse une succession de stades qui représentent les ancêtres adultes chronologiquement apparus dans l’histoire.

La récapitulation et le transformisme : les éléments biologiques de la théorie freudienne
Elle tient une place omniprésente dans le développement intellectuel.

En biologie, la théorie de la récapitulation assimilait l’enfant d’une espèce supérieure à un ancêtre adulte et aux adultes de toutes lignées « primitives « encore survivantes.

Les enfants blancs peuvent être comparés aux fossiles de l’homo erectus adulte et les adultes africains de l’époque.

L’adulte névrosé représente ou bien un enfant normal, un ancêtre adulte ou un adulte moderne normal appartient à une culture primitive.

Dans l’introduction à la psychanalyse de Freud : « chaque individu récapitule en quelques sorte sous forme abrégé le développement entier de la race humaine «

Selon Freud la 1e société humaine eut probablement l’organisation d’un ordre patriarcal dirigé par un père dominant qui interdisait les relations sexuelles à ses fils avec les femmes du clan. Les fils tuèrent le
père autoritaire puis par culpabilité ils ne purent posséder les femmes par inceste, ils se repentirent en identifiant leur père mort à un animal totémique mais ils célébrèrent leur triomphe par la reconstitution de leur crime lors de fêtes totémiques annuelles.

Les enfants modernes revivent ce parricide à travers le complexe d’Œdipe.

Fantaisie phylogénique et récapitulation

Ferenczi affirme qu’une grande part de la psychologie humaine traduit notre désir inconscient de retrouver le confort de l’utérus maternel.

Le rapport sexuel est un retour au passé phylétique de l’océan intemporel.

Le « vrai « pénis regagne l’océan originel.

Le repos post-coïtal amène la mort.

Le coït représente la terre primitive autant la vie.

La fécondation représente l’aube de la vie.

Le fœtus dans sa matrice traverse ensuite tout les stades ancestraux de la vie de l’être humain totalement formé.

La naissance récapitule la colonisation de la terre ferme par les reptiles et les amphibiens.

Stades psychologiques sexuels et névrose récapitulative de Freud

Il part de l’époque glacière.
La classification des névroses en fonction de leur ordre d’apparition dans le développement humain correspond à un stade particulier hystérique.

Le névrosé a une frustration à un stade de développement dépassé par les gens normaux.

Ces comportements peuvent avoir été actifs dans le temps ancien, ils génèrent les névroses.

Tout comportement important et adaptatif des ancêtres peut passer dans la patrimoine des enfants.

Un parricide fondateur survenu il y a 10 ou 20 000 ans peut très bien se trouver
coder comme complexe d’Œdipe chez les enfants actuels.

On peut également légitimement affirmer que les dispositions héritées sont des vestiges d’acquis génétique de l’ancêtre.

Freud cognitiviste

Sa théorie se concentre sur nos conduites, nos comportements et nos pensées qui sont plus ou moins contrôlées par l’influence inconsciente de nos expériences antérieures.

Il n’y a pas qu’une mémoire mais plusieurs mémoires qui stockent les informations, la mémoire c’est ce qui dure dans le temps.

Il utilise la « répression « pour désigner le processus actif qui dirige les pensées ou les perceptions menaçantes qui nous amènent à une sphère de notre esprit dont on ne peut pas avoir une mémoire consciente, cette sphère c’est l’inconscient.

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