la poule de feu
Publié le 22/05/2020
Extrait du document
«
Plusieurs appartements parisiens ont leur porte marquée d'un quatre à l'envers.
A chaque fois une seule porte
de l'immeuble n'est pas marquée.
Le commissaire Adamsberg mène l'enquête et découvre qu'il s'agit d'un
signe moyenageux servant de protection contre la peste.
En parallèle un crieur public récite chaque jour des
messages annonçant le retour de la maladie.
Quand un des occupants d'un appartement non marqué est
retrouvé mort couvert de tâches sombres, le commissaire Adamsberg prend l'enquête plus au sérieux.
Hélas
pour lui celle-ci piétinne et les morts continuent à s'entasser.
Dans la maison d'une des victimes il trouve
cependant une photo qui montre que les victimes se connaissaient.
En effet toutes ces personnes ont travaillé
à une époque en Afrique dans l'exportation.
La dernière victime potentielle en vie raconte tout au commissaire:
ils se faisaient beaucoup d'argent et menaient la belle vie, lorsque leur boss est venu leur dire que tout
s'arrêtait ils l'ont tué.
Entre-temps les labos ont conclu que les victimes n'étaient pas mortes de la peste.
Adamsberg en cherchant le lien entre la peste et les meurtres découvre que le fils de l'homme d'affaire est
encore en vie, c'est un garçon du quartier et il avait assisté à l'éxécution de son père.
Mais il est un peu simple
d'esprit et celle qui est derrière tout ça c'est sa grand-mère qui a survécu à la peste dans les années 20 et qui
s'en croit protégé.
Elle a cultivé des puces que son petit-fils amenait chez les victimes.
Il jure n'avoir rien fait
d'autres.
Mais les victimes étaient trouvées mortes couvertes de charbons et piqué mortellement à la nuque par
une seringue de curare, un puissant poison.
Il ne reste alors qu'une personne capable de faire cela: Marie la
demi-soeur du garçon.
Toujours considérée comme une bâtarde par la famille de son père, elle voulait se
venger de son frère en le faisant inculper de meurtre pour lui estorquer son héritage.
Elle est arrêtée par les
forces de police..
»
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