La place et le rôle des femme dans la société

« HISTOIRE Sujet 1 ; « Place et rôle des femmes dans la société française au XIX ème siècle et début du XX ème (jusqu’en 1914) » L’idéologie politique du 19 ème siècle français est marqué par l'opposition entre partisans des idéaux révolutionnaires et contre-révolutionnaire , et d'une lutte acharnée pour instaurer une forme de régime stable entre les républicains, les monarchistes et les bonapartistes.

Quelle que soit la classe sociale de la femme à cette époque, cette dernière se retrouve encore plus exclu qu’auparavant.

Les femmes ne sont pas conviées pour participer à la vie politique, comme l’indique le Code Civil de 1804, elles occupent un statut mineur.

Au sein de cette société qui se transforme jour après jour, les femmes sont vouées à être des épouses et des mères, gardiennes des bonnes mœurs.

Nous pouvons nous interroger sur ce qu’était le rôle et la place de la femme du XIXème et du début du XXème dans la société française et par ailleurs comment ont-ils évolués au fil du siècle.

Dans un premier temps nous étudierons la place te le rôle de la femme selon la classe sociale puis nous nous pencherons sur l’évolution au cours du XIXème siècle. Pour finir nous évoquerons le portait de la femme d’influences du XIXème et XXème. L’Instauration de l’Empire et du Code Civil de 1804 n’a pas permis, bien au contraire, d’améliorer quant au statut de la femme, elle reste hélas l’une des pires périodes en la matière. Comme nous le disions précédemment nuls droits politiques ou civils ne sont accordées à la femme.

Cette dernière est un être mineur placées sous les ordres de son mari ou de son père, si celle-ci n’est pas mariée.

La femme est avant tout une épouse et une mère quelle que soit le rang social.

Car à cette époque sous l’empire, les différences classes sociales étaient encore très présentent, il y avait la noblesse remplacée après la Révolution française par la bourgeoisie, la classe ouvrière (qui est) apparue à ce siècle et pour finir la classe paysanne.

La femme dans la bourgeoisie est un ornement qui se doit de charmer son entourage de pars sa beauté et son esprit que l’on a pris soin de modeler.

Son rôle est d’avant tout d’être une bonne épouse et une mère, car la procréation devait être l’une de ses principales préoccupations. Néanmoins trouvant sa place par/dans ce rôle de mère, la femme ne détient pourtant aucun droit sur ses enfants, tout revient au père.

Pour la classe ouvrière cela n’est pas les femmes sont de plus en plus nombreuses, cette classe ouvrière éloigne la femme de l’image de gardienne du foyer ou de paysanne.

Les femmes luttent pour pouvoir exercer un « métier d’hommes », car à cette époque un tier de la population active est féminin (1866).

Au début du 20 ème siècle, le Code du travail leur accorde la libre disposition de leur salaire, un congé maternité et même la possibilité d’être électrice et éligible aux tribunaux des prud’hommes.

Néanmoins les discriminations demeurent toujours présentes ; l’égalité salariales ou l’accès aux emplois qualifiés n’est pas quelque chose d’envisageable pour les femmes.

Des mouvements féministes s’organisent en France, ces dernières étants éloignées du champ politique, elles se regroupent en association, créant par la suite des organes de presse afin de faire avancer leurs causes.

Ces mouvements féminins sont divers ; associations d’ouvrière, société philanthropique, ou assistance aux travailleuse (par la bourgeoisie).

De plus au 19 ème siècle, un certain nombre de femmes sont considérés comme des pionnières car comme nous le disions précédemment, c’est la première fois que les femmes exerçaient un métier réservé aux hommes. (Julie-Victoire Daubié-première bachelière en 1861, Madeleine Brès-première femme médecin en 1884, Clémence Royer-première professeure à la Sorbonne, Marie Curie-première femme à être récompensée par un prix Nobel en 1903). Concernant la classe paysanne, les femmes représentaient presque la moitié de la population active agricole.

Le travail agricole est souvent apparu comme le prolongement du travail domestique, il était donc attribué aux femmes par « nature ».

Pourtant, les travaux agricoles des paysans n’étant pas considérés comme des activités domestiques, c’était un travail très physique ou les gens gagnaient peu.

Ces femmes sont les filles des petits paysans, serfs, laboureurs ou. »