Databac

LA PHILOSOPHIE... UNE SCIENCE (fiche bac)

Publié le 23/06/2021

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : LA PHILOSOPHIE... UNE SCIENCE (fiche bac). Ce document contient 954 mots soit 2 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format PDF sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en: Philosophie.


« 1 / 2 LA PHILOSOPHIE ...

UNE SCIENCE? • Diversité des systèmes Hegel dans ses Leçons sur l'hi�^G6M" de la philosophie.

constate l'existence de différents systèmes de pensée.

Il déclare : « Cependant la vérité est une; l'instinct de la raison a ce sentiment ou cette foi invincible.

Une seule philosophie peut donc être vraie.

Or, comme les autres philosophies sont diverses, on en conclut que les autres sont nécessairement erronées.

» Descartes observait ce même phénomène.

Chacun privilégie un système, le propose en application à tout le monde des autres connaissances, et s'é�.MVY.

à nier les a�#AU#6.R des autres.

Ne risquons-nous pas d'être découragés, si l'on réfléchit qu'aucun système n'est qualifié pour prétendre détenir une quelconque parcelle de �fM9Uf ? Comment croire ou accepter un système puisque tous, dans la succession historique se ré�d=.AU aussi peu fiables ? Hegel, pourtant, fonde son enquête sur une idée neu�. Il prétend que tous les systèmes, moments singuliers de l'histoire, jugent « les divers degrés de la détermination même de l'Idée dans sa notion logique».

• L'histoire de la philosophie: base de la Science Chaque science particulière décou�M.

son propre objet, explicitant ainsi le cheminement de sa propre technicité.

Cette science réaliste se décou�M.

en sa singularité exemplaire, et nous pou�DAR penser que chaque étape de cette analyse correspond à une �9R9EA particulière et partielle du monde.

Le monde se décou�M.

peu à peu dans ces apports successifs de Descartes, Kant ou Hegel.

Si l'on �.YU aboutir à une révolution générale de l'esprit, il faut d'abord perce�E9M les moments de la pensée humaine.

• Les sciences et la philosophie K.

Marx a porté lui aussi ce raisonnement à ses limites.

« Les philosophes n'ont fait jusqu'ici qu'interpréter le monde, il s'agit maintenant de le transformer».

Une longue marche de l'esprit philosophique se dessine à tra�.MR les progrès et les a�#U#MR des théories successi�.R Toutes les idées proposées sont soumises au crible du temps et l'histoire accueille et rejette.

Marx conservera un grand moment de cette influence parce que les mots mêmes de son discours se nomment matérialisme, historique, dialectique.

Tous les hommes s'accordent à comprendre à peu près l'é�9+.A(.

de ces trois expériences.

En re�#A'7. d'autres penseurs font appel de ce scientisme primaire et catégorique.

A l'idée de masse, de foule, de quantités aliénées ou aliénantes, on préfère l'idée et la certitude de la personne humaine.

Chaque indi�9+Y est jugé créateur, digne, différent et chaque système ne doit pas 2 / 2. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles