La pensée philosophique de Victor HUGO
Publié le 09/12/2021
Extrait du document
Ci-dessous un extrait traitant le sujet : La pensée philosophique de Victor HUGO. Ce document contient 0 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Littérature
Hugo, à Jersey, interrogeait les tables tournantes et vaticinait face à l'Océan. Son assurance de prophète et ses expériences de spirite ont été cruellement raillées. Sa réflexion, pourtant, fut cohérente; des études récentes l'ont, dans une certaine mesure, réhabilitée. LE SYSTÈME MÉTAPHYSIQUE. La philosophie de Hugo est exprimée dans. de nombreux poèmes composés pour la plupart en exil, notamment dans Ce que dit la Bouche d'ombre, à la fin des Contemplations. Elle a pour point de départ une méditation sur l'existence du Mal, dont il s'agit de justifier la nécessité métaphysique.
Hugo, à Jersey, interrogeait les tables tournantes et vaticinait face à l'Océan. Son assurance de prophète et ses expériences de spirite ont été cruellement raillées. Sa réflexion, pourtant, fut cohérente; des études récentes l'ont, dans une certaine mesure, réhabilitée. LE SYSTÈME MÉTAPHYSIQUE. La philosophie de Hugo est exprimée dans. de nombreux poèmes composés pour la plupart en exil, notamment dans Ce que dit la Bouche d'ombre, à la fin des Contemplations. Elle a pour point de départ une méditation sur l'existence du Mal, dont il s'agit de justifier la nécessité métaphysique.
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Dans William Shakespeare, Victor Hugo affirme : « La pensée est pouvoir.
- Victor Hugo, Les Contemplations - tome I “Autrefois”. 21e poème du livre premier intitulé “Aurore”
- Analyse linéaire du prologue de Lucrèce Borgia de Victor Hugo
- LAL Victor Hugo, Les Quatre Vents de l’esprit, 1881, « Écrit après la visite d’un bagne ».
- Victor Hugo, "J'aime l'araignée et j'aime l'ortie", Les Contemplations 1842