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La nature a fait l'homme heureux et bon, mais [...] la société le déprave et le rend misérable. Jean-Jacques Rousseau, Rousseau juge de Jean-Jacques. Commentez cette citation.

Publié le 15/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : La nature a fait l'homme heureux et bon, mais [...] la société le déprave et le rend misérable. Jean-Jacques Rousseau, Rousseau juge de Jean-Jacques. Commentez cette citation. Ce document contient 336 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Citation.

« La Nature à Fait l'Homme Bon Mais La Société Le DépraveFrançais : Rédaction d’une dissertation « La nature a fait l’homme heureux et bon mais la société le déprave et le rend misérable »Jean-Jacques Rousseau De nos jours, nous voyons de plus en plus l’impact de notre société de surconsommation sur les comportementshumain.

Notre société ôte beaucoup de qualités que la nature nous a octroyées, cela Jean-Jacques Rousseau l’avaitdéjà bien compris à son époque, au XVII éme siècle.

Il affirma même que : « La nature a fait l’homme heureux etbon, mais la société le déprave et le rend misérable ».Je tenterai de montrer, à partir de cette citation que j’émaillerai de quelques exemples, que l’environnement d’unêtre humain peut, avec le temps, le pervertir ou le rendre meilleur.

Je présenterai ensuite mon point de vue sur laquestion en tranchant en faveur de l’une de ces deux possibilités. Tout d’abord, je commencerai en allant dans le même sens que Rousseau, c’est-à-dire en montrant que la sociéténous pervertie.

En effet, prenons l’exemple d’un bébé, il est l’incarnation de la pureté même, c’est le fruit de lanature tel qu’elle l’a créé, sans aucune perversion.

Les choses simples comme une grimace, un bruit, un jouetsuffisent à le rendre heureux.Nous pouvons aussi comparer les bébés aux sociétés primitives comme celles se trouvant en Amazonie, ou lesTsatan en Mongoli.

Ces dernières vivent indépendamment de nous, elles ont accès à certaines technologies, àl’éducation mais n’ont pas besoin d’entrer en contact avec notre société, du moins pas pour ce qui est de notresociété de surconsommation.

Ces tribus se suffisent à eux même, n’ont pas besoin d’aide extérieur, chaque membrea des taches bien précise.

Elles vivent dans la prospérité.

Mais dès qu’elles touchent à l’argent, qu’on leur montre cequ’est l’économie et le capitalisme elles y deviennent dépendant et ne peuvent plus s’en passer, cela engendre unesorte de compétition.

A partir du moment où nous nous rendons compte du pouvoir de l’argent nous.... »

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