« La liberté commence-t-elle quand le travail finit ? »

« Que les êtres humains prennent plaisir à revendiquer leur liberté, acquise à la sueur de leur front, cela paraît incontestable.

Cette liberté, les peuples l'ont durement acquise.

Les révolutions, les manifestations, sont couteuses de nombreux sacrifices.

Les hommes ont dut donc mériter leur liberté, travailler pour l'obtenir.

Mais le travail, qui vient du latin tripalium, serait une torture.

La torture serait donc une source de la liberté? Mais cette liberté est-t 'elle nécessaire? Tout cela dépend donc de notre conception de la liberté car d'après Karl MARX "le règne de la liberté commence seulement à partir du moment où cesse le travail dicté par la nécessité...

La réduction de la journée de travail est la condition fondamentale de cette libération." Le travail serait donc nécessaire à la liberté? Il faudrait donc connaitre le travail pour jouir de notre liberté? La liberté ne commencerait donc que lorsque le travail se finit? Nous constaterons que, le travail est une contrainte, mais que cette contrainte est lié à la liberté, et qu il lui est nécessaire.       Le travail est certes une difficulté pour l'homme, mais pourtant nécessaire à la liberté. Le travail est étymologiquement une contrainte, il vient du latin triaplium qui signifie torture.

Ce tripalium est à l'origine un appareil pour ferrer les boeufs, il serait donc lié à la souffrance.

Le travail est d'ailleurs péjoratif selon la Grèce antique, car à cette époque, dans les grandes cités comme Athènes, seule les esclaves travaillaient.

Ils étaient privés de leur liberté.

Dans ce cas de travail forcé, l'homme est dévalorisé.

Seuls les maitres étaient libres mais pourtant, ils n'étaient pas vraiment libres étant donné leur dépendance du travail des esclaves.

Ce terme de travail ne serait donc pas tant péjoratif que l'on pourrait le croire.

D'après les croyances judéo-chrétiennes" tu mangeras ton pain à la sueur de ton front".

Le travail serait donc nécessaire à la vie.

Le. »