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La justice est elle mère de l'injustice ?

Publié le 19/01/2021

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« Sujet 1 : La justice est-elle mère de l’injustice ? Dans son ouvrage publié pour la première fois en 1670 sous le titre Pensées , Blaise PASCAL déclarait : « J'ai passé longtemps de ma vie en croyant qu'il y avait une justice, et en cela je ne me trompais pas; car il y en a, selon que Dieu nous l'a voulu révéler.

Mais je ne le prenais pas ainsi, et c'est en quoi je me trompais; car je croyais que notre justice était essentiellement juste » mettant ainsi la lumière sur le caractère parfois injuste de la justice des hommes. Ainsi l’on se demande si la justice est-elle mère de l’injustice.

De cette interrogation emerge la problèmatique la justice entre iniquité et équité.

Comment la justice est-elle la source de l’iniquité ? Dans quelle mesure la justice participe t- elle à l’équité ? *** * Le présent sujet s’incrit dans la lignée des interrogations relative à la justice étatique dans les sociétés conptemporaines.

Il met en lumière l’écart entre la justice Divine qui une vertue et son application institutionnalisée qui est parfois une source d’injustice.

Ainsi, on se demande comment l’institution qui permet de faire respecter les droit de chacun, peut génèrer la violation des normes ou des droit reconnus à chacun.

Comment la justice est-elle donc la source de l’iniquité ? L’un des traits caratéristique de l’iniquité générée par la justice resident des les errures judiciaires On peut parler d'erreur judiciaire lorsqu'une personne a été poursuivie et a fait l'objet d'un jugement, a été condamnée puis a apporté la preuve, lors d'un procès en révision, de son innocence. Elles constituent des iniquité générées par la jusrice parce que un inoncent a été poursuivi et condamné à la place d’un criminel.

C’est ce que illustre la célèbre affaire Jean Calas. En 1761, Jean Calas, négociant toulousain de confession protestante, découvrit son fils aîné Marc Antoine, âgé de vingt-neuf ans, pendu dans la maison familiale.

Pour éviter de subir l'opprobre qui frappait les proches en cas de suicide, la famille décida de maquiller l'affaire en accident.

Dénoncé, Jean Calas fut accusé d'avoir tué son fils pour empêcher celui-ci de se convertir au catholicisme, comme il en aurait manifesté l'intention.

Aucune enquête ne fut entreprise pour connaître la réalité des faits.

Jean Calas, sa femme et son fils Pierre furent soumis à la torture et, sous la pression de la foule, le Parlement de Toulouse condamna Jean Calas à mort par huit voix contre cinq.

Calas fut éxécuté le 10 mars 1762.

Mais voltaire releva des invraisemblances qui semblaient prouver que Marc Antoine Calas n'avait pas été tué par son père.

Dès lors, Voltaire travailla sans relâche pour obtenir la réhabilitation du condamné, et publia notamment son Traité de la tolérance (1763) pour mobiliser l'opinion. L’interferance du pour exécutif dans le pourvoir judiciaire ( affaire Gustave flaubert) affaire Maurice AUDIN l’interferance du pour exécutif dans le pourvoir judiciaire est le fait pour le pouvoir exécutif de s’immiscer dans le pour judiciaire pour l’influencer la partialité des juge.

Cette interference créer de l’injustice à travers des parodies de justice ou des crimes laisser impunis. L’affaire Maurice AUDIN est l’une belle ullustration de l’interferance du pour exécutif dans le pourvoir judiciaire.

En effet Maurice AUDIN, mathématicien militant du parti communiste algerien, arreté le 11 juin 1957, en plein guerre, car soupçonné d’aider la FNL ne réapparaitra jamais après son arrestation.

Une première hypothèse d’évasion serait évoquées, mais après les investigation du journaliste Pierre VIDA, Maurice a été tué par l’officier chargé de l’interrogatoire sous la commande du pouvoir exécutif français.

Malgré toutes les tentatives judiciaires l’affaire n’a jamais été elucidé compte tenu de la presssion du gouvernement français sur l’appareil judiciaire.. »

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