La Fontaine introduit le livre I des Fables en s'adressant à monseigneur le Dauphin en ces termes : « je ne doute point monseigneur, que vous ne regardiez favorablement des inventions si utiles et tout ensemble si agréables ». À partir de vos lectures personnelles vous discuterez de l'articulation de ces deux aspects, plaire et instruire dans les genres de l'essai, du dialogue et de l'apologue ?
Publié le 19/12/2021
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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : La Fontaine introduit le livre I des Fables en s'adressant à monseigneur le Dauphin en ces termes : « je ne doute point monseigneur, que vous ne regardiez favorablement des inventions si utiles et tout ensemble si agréables ». À partir de vos lectures personnelles vous discuterez de l'articulation de ces deux aspects, plaire et instruire dans les genres de l'essai, du dialogue et de l'apologue ?. Ce document contient 1289 mots soit 3 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format PDF sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en: Français / Littérature.
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- La Fontaine introduit le livre I des Fables en s'adressant à monseigneur le Dauphin en ces termes : « Je ne doute point monseigneur, que vous ne regardiez favorablement des inventions si utiles et tout ensemble si agréables ». Comment l'apologue parvient-il à plaire et instruire en même temps ?
- « Outre le plaisir d'une lecture agréable, on y trouvera peu d'événements qui ne servir à l'instruction des moeurs et c'est rendre à mon avis un service considérable au public que de l'instruire en le divertissant ». Vous discuterez ce point de vus de l'abbé Prévost sur la fonction du roman, en l'élargissant à l'ensemble de la fonction romanesque et en l'illustrant par de arguments et exemples tirés de vos lectures personnelles ou scolaire.
- Charles Perrault a déclaré à propos des contes que ces bagatelles n'étaient pas de pures bagatelles, qu'elles renfermaient une morale utile et que le récit enjoué dont elles étaient enveloppées n'avait été choisi que pour les faire entrer plus agréablement dans l'esprit et d'une manière qui instruisît et divertît tout ensemble. Vous direz comment les apologues que vous avez lus et étudiés illustrent ce jugement. Vous vous appuierez pour traiter ce sujet, sur les textes du corpus (Lettr
- Charles Perrault a déclaré à propos des contes que ces bagatelles n'étaient pas de pures bagatelles, qu'elles renfermaient une morale utile et que le récit enjoué dont elles étaient enveloppées n'avait été choisi que pour les faire entrer plus agréablement dans l'esprit et d'une manière qui instruisît et divertît tout ensemble. Vous direz comment les apologues que vous avez lus et étudiés illustrent ce jugement. Vous vous appuierez pour traiter ce sujet, sur les textes du corpus (Lett
- Dans son roman, les Faux-Monnayeurs, Gide prête à son personnage de romancier, Edouard la réflexion suivante : « Il se dit que les romanciers par la description trop exacte de leurs personnages, gênent plutôt l'imagination qu'ils ne la servent et qu'ils devraient laisser chaque lecteur se représenter chacun de ceux-ci comme il lui plaît ». Partagez-vous ce jugement ? Vous expliquerez et discuterez le point de vue énoncé par André Gide en vous appuyant sur vos lectures personnelles et l