La démonstration par Galilée, la chute des corps

« IV) LA DÉMONSTRATION PAR GALILÉE DE LA LOI DE LA CHUTE DES CORPS 1) L’expérience du plan incliné : La version la plus connu sur la manière dont Galilée à découvert la loi de la chute des corps, celle qui est enseigné dans tout les cours de physique de collège et de lycée est celleci : « Dans une règle, ou plus exactement un chevron de bois, long d’environ 12 coudées, large d’une demi-coudée et épais de 3 doigts, nous creusions un petit canal d’une largeur à peine supérieur à un doigt, et parfaitement rectiligne ; après l’avoir garni d’une feuille de parchemin bien lustré pour le rendre aussi glissant que possible, nous y laissions rouler une boule de bronze très dure, parfaitement arrondie et polie.

Plaçant alors l’appareil dans une position inclinée, en élevant une de ses extrémité d’une coudé ou deux, au dessus de l’horizon, nous laissons comme je l’ai dit, descendre la boule dans le canal, en notant, selon une manière que j’exposerai plus loin, le temps nécessaire à une descente complète ; l’expérience était recommencée plusieurs fois afin de déterminer exactement la durée du temps, mais sans que nous découvrîmes jamais de différence supérieur au dixième du battement de pouls.

La mise en place de cette première mesure étant accomplie, nous faisions descendre la même boule d’un quart de canal seulement : le temps mesuré était rigoureusement égal à la moitié du temps précédent.

[…] Pour mesuré le temps, nous prenions un grand seau rempli d’eau que nous attachions assez haut ; par un orifice étroit pratiqué dans son fond s’échappait un mince filet d’eau que l’on recueillait dans un petit récipient, tout le temps que la boule descendait le canal.

Les quantités d’eau ainsi recueillit étaient à chaque fois pesé à l’aide d’une balance très sensible, et les différences et proportion entre les poids nous donnaient les différences et proportions entre les temps ; la précision était telle que, comme je l’ai dit, aucune discordance significative n’apparut jamais entre ces opération maintes et maintes fois répétées.

» Remarqué que cela ne ressemble que de loin au manière dont use les professeur actuels pour enseigné cette loi.

Aujourd’hui une bille de métal lâché sur un plan incliné déclenche l’horloge interne d’un ordinateur qui mesure le temps que la bille à accomplie pour parcourir une distance dont la précision est celle du millimètre.

Par ailleurs il est plus facile de faire ce genre de démonstration lorsque l’on connait déjà la formule que l’expérience doit démontré.

Les professeurs de physique le savent bien et Galilée le savait tout autant ; jamais il n’a découvert cette lois grâce au méthode qu’il décrit ici, sa mesure de distance la plus précise est le « doigt » et la mesure de temps se fait avec un seau percé.

Mais remarqué avec quel précision il décrit les résultat :« le temps mesuré était rigoureusement égal à la moitié du temps précédent » ; «la précision était telle que, comme je l’ai dit, aucune discordance significative n’apparut jamais ».

Il est évident que si les résultats qu’il publie sont exact c’est car il avait la formule à l’avance, tout ses contemporain qui essayèrent de refaire cette expérience ne trouvère que des valeurs très approximative et différente à chaque fois les une des autre.

Galilée décrit cette expérience dans le seul but de faire comprendre sa loi à un plus large public, mais jamais les moyens de l’époque n’aurait permis une.... »