La couche d’ozone: une espèce désormais protégée (discours)
Publié le 14/10/2021
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Activité L’ozone, protecteur des êtres vivants / discours
La couche d’ozone, une espèce désormais protégée
Mesdames, messieurs,
Depuis 1987, comme nous le savons tous, a été ratifié par 24 pays ainsi que la communauté
économique européenne (CEE), le protocole Montréal.
Ce dernier, rappelons-le, annoncé
l’interdiction de l’utilisation par l’hommes de certain gaz tels que les gaz Chlorofluorocarbones,
communément appelés CFC.
L’objectif étant d’assurer la protection de la couche d’ozone.
À l‘époque
victime d’un important amincissement qui aurait pu, dans une futur proche, entrainer des
conséquences plus que déplorables sur l’ensemble de notre terre, si aucune mesure politique et
industrielle n’avait été prise.
Ce protocole, qu’à ce jour, nous pouvons alors nous permettre de
désigner comme la plus grande action environnementale que le monde est connu, peut
effectivement avoir un impact positif et considérable sur la couche d’ozone.
Je me permets alors
aujourd’hui de me tenir devant vous pour vous convaincre de l’importance de ces mesures, en
comparant l’avancement environnementale au cours du temps depuis la mise en place du protocole,
et au contraire se qui serait arrivé au monde si nous n’avions pas agis.
Dans un premier temps, remontons au commencement.
En 1974, nous avons pris officiellement
conscience du risque présenté par les émissions de CFC, qui détruisent l’ozone.
Cette année-là,
l’émission de CFC était fixée à 7.5 GtC0 2 -eq.an -1 et cette valeur dans le futur n’a cessé d’augmenter.
Notamment après 1987, si nous étions restez indiffèrent face à cette situation.
En effet on estime
qu’en 2020, l’émission annuelle serait comprise entre 17.5 et 23 GtC0 2 -eq.an -1 .
On peut donc parler
d’une augmentation plus que considérable, qui aurait eu des effets irréversibles sur la couche
d’ozone.
Heureusement, en 1987, alors que l’émission annuelle de CFC atteignait presque les 9 GtC0 2 -
eq.an -1.
Nous avons, enfin conscient de l’urgence, décidé d’agir en mettant en place le protocole de
Montréal et ses différentes mesures politiques et industrielles.
Ainsi, en interdisant l’utilisation de ces
gaz, nous avons constater une chute plus qu’importante et encourageante du niveau d’émission de
CFC.
En effet en 2020, il est déterminé un niveau d’émissions égale à 1 GtC0 2 -eq.an -1.
Soit une
différence considérable de 8Gt depuis l’application des mesures .
Ce qui va indéniablement entrainer
une répercussion avantageuse pour la couche d’ozone.
Parlons-en alors de cette couche d’ozone.
Aujourd’hui après des années d’études, nous sommes en
mesure de dire qu’elle n’est plus un mystère.
Nous savons notamment, qu’elle est constituée de
l’accumulation d’un gaz nommé ozone (O 3 ) qui se forme lors d’une réaction chimique entre le
dioxygène (0 2 ) atmosphérique et les rayonnements ultra-violets solaires.
Mais le plus important, on
sait que celle-ci nous est essentiel, voir vitale.
Puisque cette couche est capable d’ absorber une partie
des rayonnements ultraviolets solaires et protège ainsi tous les êtres vivants des effets mutagènes de
ces rayonnements.
Cependant, comme j’ai pu vous l’énoncer précédemment, les gaz comme les
Chlorofluorocarbones sont capables de la détruire.
Ainsi les êtres vivants peuvent être soumis à des
risques majeures, si les mesures politiques et industrielles pour réduire ces émissions de CFC ne sont
pas appliquer.
De manière plus détaillé et précise, dans les années 1970, selon des images fournis par la NAZA, on a
pu constater que la couche d’ozone était d’abord inégalement répartie autour de la terre, et surtout
déjà très peu concentrée en ozone.
En effet au-dessus des 2 pôles du globe, ou l’activité industrielle
et donc les émissions de gaz sont moindres, se trouvaient une concentration en ozone d’entre 400 et
500 unités Dobson.
Tandis qu’entre les 2 pôles, on mesurait une concentration en ozone comprise
entre 200 à 300 unités Dobson.
.
Cependant si en 1987, nous avions ignoré le problème, la couche.
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