L'encyclopédie: texte de Cordelier, Capuchon, pénitents et Flagellants

« L’encyclopédie L’encyclop édie est un Ouvrage embl ématique du   si ècle des Lumi ères , dont la parution (1751­1772). Inspir ée par un ouvrage similaire de l'Anglais Chambers (1729), l' Encyclop édie   a  été dirig ée par   Diderot   et r édig ée   par 150 savants, philosophes et sp écialistes de toutes les disciplines (Voltaire, Montesquieu, Rousseau, Helv étius,   Condillac, d'Holbach, Daubenton, Marmontel, Quesnay, Turgot, Jaucourt, etc.).  «   Le but d'une   Encyclop édie   est de rassembler les connaissances rependu sur la surface de la terre, d'en exposer   le syst ème g énéral aux hommes, & de le transmettre aux g énérations futurs sert a l’ éducation  également.

  Cependant l’encyclop édie a  été écrite  à une  époque ou la libert é d’expression n’existait pas l’encyclop édie des   lumi ères a donc  été censur ée. A travers l’analyse du  texte de  Cordelier, Capuchon, p énitents et Flagellants nous   allons faire un rapprochement avec le si ècle des lumi ères.     I/ etude du texte A) Etude analytique du texte Nous pouvons observer que les diff érents articles pr ésents dans ce texte sont des articles de l’encyclop édie donc   chaque nom commun entre guillemet seront trait é a partir d’une r éflexion dont les savants et philosophe   expliquerons afin d’informer les hommes de l’importance des ses mots, les d éfinir et  également expliquer leur  rapport avec l’histoire. Dans ce cas les articles pr ésent és sont cordelier, capuchon p énitents et flagellant. A travers   ces articles qui exprime un fait religieux pass é dans lequel Diderot, et Jaucourt explique se que signifie ces mot et   informe l’homme et l’instruisant sur le fait des pratiques ce certains religieux nomm é les cordeliers. Dans ce texte les philosophes ont cr éé un syst ème de renvois tr ès élabor é, afin d’ établir une connexion entre les   sciences, de reconstituer l’enchainement des causes d’o ù vient  également le nom de dictionnaire raisonn é. Ce   syst ème de renvoi va permettre de d éjouer la censure et ainsi que les philosophes puisse s’exprimer librement et   faire passer un message aux hommes a travers leur raisonnement. Ainsi ils pourront exprimer des id ées non   conforme  à celles reconnu par l’ église de l’ état.  Dans l’article cordelier qui est un article  élogieux sur cet ordre car il est explicitement dit que les cordeliers n’ont   cess é de servir utilement l’Eglise et la soci été et qu’il se distingue par leur savoir, les mœurs, et leur r éputation. Puis   cet article est renvoy é à un autre article Capuchon ou les religions sont ridiculis ées, critiqu é de mani ère n égative   lorsqu’il est dit que Capuchon se dit plus commun ément d’une pi èce d’ étoffe grossi ère, les religieux mendiants.

  Diderot fait une critique implicite de la religion en expliquant qu’il ne devrais pas y avoir de conflit pour savoir qui   aura le capuchon  étroit ou qui aura le capuchon large se n’est pas dans les mœurs d’apr ès Diderot de se battre   pour des chose aussi futile et que pour des hommes de fois ils n’ont pas le raisonnement de stopper toutes ces   futilit és . On observe donc que les  éloges dans l’article cordelier n’ étaient que simple ironie.  Puis nous passons sur l’article p énitent. »