L’homme devant l’apparence extrait de Propos sur les pouvoirs
Publié le 06/12/2021
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Dans le texte, L’homme devant l’apparence extrait de Propos sur les pouvoirs publié en 1924 ALAIN se préoccupe de définir la pensée. Il soutient que penser c’est d’abord dire non, notion qu’il va définir. Il se demande à quoi il faut penser pour enfin élargir son sujet sur l’impact et l’importance de penser. En cherchant à répondre à cette question : qu’est ce que la pensée remet en question ? Il aborde donc ce terme « non « qui est associé à la pensée, puis en étudiant son impact sur l’Homme penseur et ce qui l’entoure.
L’auteur va nous présenter sa thèse dès la première phrase. « Penser c’est dire non «. Le mot « non « est ensuite définit dans la deuxième phrase. Le « non « et le « oui « sont mis en opposition ils sont respectivement identifiés à l’endormissement et au réveil. Le « non « est donc désigné métaphoriquement par une connotation méliorative à contrario du oui qui admet une connotation péjorative. Le « non « serait le réveil ou autrement dit l’éveil et le début de l’intervention de la pensée dans la vie de l’Homme. ALAIN pose donc sa définition de la pensée en problématique : à quoi faut-il penser, dire non ? Question à laquelle il répond par une question rhétorique, mettant en avant trois thèmes : le monde (c’est-à-dire le monde des relations humaines et des entités perçues par les sens), le tyran (c’est-à-dire celui qui s’empare du pouvoir absolu par son éloquence), le prêcheur (c'est-à-dire celui qui aime faire la morale). On voit donc que par ces trois thèmes ALAIN préconise la réflexion, la pensée sur des idées données et qui veulent être imposées avant d’avoir une opinion sur elle. Il faut connaitre avant de juger. Les trois mots sont ensuite désignés et regroupés sous le nom « apparence « ce qui nous renvoie donc au titre de l’extrait l’Homme devant l’apparence. On peut donc dire que l’Homme avec comme seule arme sa pensée doit combattre, c'est-à-dire penser, réfléchir sur des
Dans le texte, L’homme devant l’apparence extrait de Propos sur les pouvoirs publié en 1924 ALAIN se préoccupe de définir la pensée. Il soutient que penser c’est d’abord dire non, notion qu’il va définir. Il se demande à quoi il faut penser pour enfin élargir son sujet sur l’impact et l’importance de penser. En cherchant à répondre à cette question : qu’est ce que la pensée remet en question ? Il aborde donc ce terme « non « qui est associé à la pensée, puis en étudiant son impact sur l’Homme penseur et ce qui l’entoure.
L’auteur va nous présenter sa thèse dès la première phrase. « Penser c’est dire non «. Le mot « non « est ensuite définit dans la deuxième phrase. Le « non « et le « oui « sont mis en opposition ils sont respectivement identifiés à l’endormissement et au réveil. Le « non « est donc désigné métaphoriquement par une connotation méliorative à contrario du oui qui admet une connotation péjorative. Le « non « serait le réveil ou autrement dit l’éveil et le début de l’intervention de la pensée dans la vie de l’Homme. ALAIN pose donc sa définition de la pensée en problématique : à quoi faut-il penser, dire non ? Question à laquelle il répond par une question rhétorique, mettant en avant trois thèmes : le monde (c’est-à-dire le monde des relations humaines et des entités perçues par les sens), le tyran (c’est-à-dire celui qui s’empare du pouvoir absolu par son éloquence), le prêcheur (c'est-à-dire celui qui aime faire la morale). On voit donc que par ces trois thèmes ALAIN préconise la réflexion, la pensée sur des idées données et qui veulent être imposées avant d’avoir une opinion sur elle. Il faut connaitre avant de juger. Les trois mots sont ensuite désignés et regroupés sous le nom « apparence « ce qui nous renvoie donc au titre de l’extrait l’Homme devant l’apparence. On peut donc dire que l’Homme avec comme seule arme sa pensée doit combattre, c'est-à-dire penser, réfléchir sur des
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