L'écrivain Tchèque Franz Kafka écrit à un ami en 1904 qu'on ne devrait lire que les livres qui vous mordent et vous piquent. Si le livre que nous lisons ne nous réveille pas d'un coup de poing sur le crâne, à quoi bon lire ? Un livre doit être la hache qui brise la mer gelée en nous. Discutez cette réflexion de Kafka en la limitant au genre romanesque. Votre travail s'appuiera sur les textes étudiés en classe et sur vous lectures personnelles.
Publié le 09/12/2021
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- « Dans le système qui vient de s'éteindre, toute tragédie était une catastrophe et un dénouement d'une action déjà mûre au lever du rideau, qui ne tenait plus qu'à un fil et n'avait plus qu'à tomber », écrit Alfred de Vigny en 1830, opposant la tragédie classique au drame romantique. Discutez cette affirmation en vous appuyant sur les textes du corpus ainsi que sur ceux que vous avez étudiés en classe et vos lectures personnelles.
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- Dans le texte A, Guilleragues fait dire à Marianne : « J'écris plus pour moi que pour vous ». En quoi cette formule surprenante vous paraît-elle pouvoir s'appliquer au genre épistolaire, envisagé dans sa diversité ? Vous prendrez appui sur les textes proposés dans le corpus, les textes étudiés en classe et vos lectures personnelles ?