L'ACROBATE

« L'ACROBATE Réalisation Jean-Daniel POLLET (1976) Scénario et dialogues ................. ....... .....

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J.-D.

POLLET, J.

LOURCELLES A.LEVENT,C.GARNIER (Eastmancolor) Directeurs de la photographie . ..... ........ .......

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Musique . ......................... ..... ....... .

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Antoine DUHAMEL Chorégraphie ........ ........................ ...

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Georges et Rosy FIRDMAN Production .... .

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Ilios Films, Distribution ....................................

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ORTF, Contrechamp, Films du Chef-Lieu A.M.L.F.

Durée 101 minutes INTERPRÉTATION Léon Fumée ........ .

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Claude MELKI Laurence BRU Micheline DAX Edith SCOB Madame Lamour .... ....................... ..

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Valentine ...

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Ramon .....

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Guy MARCHAND Marion GAME Jeane MANSON Denise GLASER Lili ...........................................

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L'américaine La speakerine L'HISTOIRE Timide, pas très beau mais sympathique, c'est Léon , garçon de bains depuis douze ans au " Fjord • ., établissement que dirige en dictateur Madame Valentine.

Léon n'a guère de chance avec les clients du sauna : celles à qui il fait des avances le repoussent; seule, Madame Lamour, trop grosse et trop rassie à son gré, lui fait des propositions sans équivoque.

Mais le vrai, le grand amour de Léon , c'est Fumée, la prosti­ tuée dont il voudrait devenir l'unique client.

Nouvelle déconvenue : Fumée attend de lui « quelque chose d'autre» .

Robert Pottier, dit R amon le gominé , est le meilleur ami de Léon ; il ravage le cœur des femmes grâce à son charme et, semble -t-il, à son talent de danseur de tango .

Le garçon de bains décide alors de suivre l'exemple de Ramon et s'initie avec acharne­ ment aux figures que lui enseignent Georges et Rosy, deux maîtres à danser.

Rapidement , Léon révèle un except ionnel talent.

Avec Fumée, qui semble enfin conq uise, il constitue un couple idéal qui remporte toutes les compétitions.

Mais la danse n'est-elle pas du domaine du rêve? La réalité est plus rude: Ramon séduit Fumée et Léon se retrouve seul.

Fumée lui reviendra mais pour Léon, le tango ne sera plus seulement ce qu'il était, c'est-à-dire un moyen de s'évader; désormais , ce sera son métier.

LA PETITE HISTOIRE Claud e Melki, né à Saint-Denis le 23/évrier 1939 fut d 'abord taill e ur.

li re ncontra le cinéaste Jean-Dani el Pollet , n é le 20 juin 1936, et débuta à /'écran dans le pr e mier film de celui-ci, POURVU QU'ON AIT L'IVRESSE (1957) , court-métrage sur /'ambiance des dancings , primé dans de nom­ breux festivals.

Toujours avec Pollet, il joua dans plusieurs courts-métrages et dans L'AM OUR C'EST GA!, L'AMOUR C'ESTTR!STE(l971), long-métrage avec Jea n-Pierre Marielle, Chantal Goya et Bernadell e Lafont.

C.

Melki apprit à danser au cours de Georges e t Ros y Firdman plusieurs mois avant le début du tournage et fit preuve de telles dispositions qu'il ~ continua, après le film, à enseigner la danse aux ill côtés de ses maîtres .

Prix de la Critiqu e au 1 "/e s-; tival du film d'humour de Chamrousse en 1976, :'!! L'AC ROBATE consacra le talent de C.

Melki .3 «la grande ombre de Buster Keaton dont il a le :; regard, la silhouette, la légèreté lunaire de clown ~ trist e» (Les Nouvelles Littéraires), «Funambu l e, É acrobate du rire, il a la grâce ...

» (Télérama).

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