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Justine ou les Malheurs de la vertu Lecture Analytique

Publié le 25/09/2016

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S°N°1 : dominante lecture Lecture analytique N°3 1) Intro/Mise en situation du texte :Justine ou les malheurs de la vertu – Marquis de Sade (1791) a) Qui êtes-vous, monsieur le marquis ? Écrivain Français, le mots sadisme a été tirer de son nom et de ces écrits. Élevé chez les jésuites, libéré de prison en 1789 grâce à la prise de la Bastille, mais il y repart peu de temps après. A passé plus de 30 ans en prisons et en asile accusé de viol, d'écrit outrageux … Écrivain sulfureux. Le libertinage – un libertin(e) = XVII ème siècles le libertin d'esprit XVIII ème siècles le libertin de mœurs b) Hypothèses de lecture sur le titre On peut supposer que Justine va chercher les valeurs de la vertu mais quelle va en souffrir. Il semblerait dès le titre que l'auteur ne défende pas le chemin de la vertu (= La vertu...
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« * L'argumentation de Juliette - Grâce au libertinage une femmes peut être heureuse si elle renonce à sa sensibilité. - Les plaisir de la chair permettent de dépasser les affection morales (ligne 9 à 11). La sensibilité profite aux autres mais elle lui attire que des chagrins.

Elles donnent un exemple qui a valeur d'arguments.

(Ligne 26 – 30) Le mariage apporte plus de souffrance que de plaisir alors que si elle se livre au libertinage elle pourra toujours s'échapper de cette douleur soit en se séparant de ces amants ou en fessant le trie.

La morale n'est pas présente car elle réduit la femme, son corps a un objet voilà pourquoi le débat n'est pas une vraie « morale » car Justine ne prend pas partit sur les arguments de sa sœur. Juliette réduit la femme a un corps, les convention sociales (mariage) s'oppose au bonheur. 3) La position du narrateur Statut externe du narrateur – mais intervention du narrateur (ligne 19 – 22) On = - exclusif : émetteur s'exclut - inclusif : émetteur s'inclut, nous « On » = inclusif = le narrateur est du côté de Juliette Verbe au présent de vérité générale maxime Le narrateur prend une position de moraliste - Justine = « un bon cœur » (sensibilité), « une mauvaise tête » (têtue) Dans cet extrait de Justine ou les malheurs de la vertu on voit dès le début qu'il y a une différence très marquée entre les deux héroïnes, les deux sœurs.

Juliette qui elle est veut être indépendante et se livrer au libertinage tout en réduisant la femme a un objet alors que Justine déterminer par sa sensibilité et sa vertu Problématique : Comment Juliette devient-elle le porte-parole de l'auteur ? Dans cet extrait le marquis de Sade met en scène deux héroïne que tout oppose bien qu’elle soit sœur.

Dans ce texte Juliette propose au nom de l’indépendance penche pour le libertinage alors que Justine mener par sa sensibilité choisit le camp de la vertu.

Juliette peut apparaître comme un porte-parole des idées de l'auteur. Les majuscules en français : académie française. »

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