Databac

Juan de Villanueva1739-1811Fils de sculpteur, frère cadet d'un architecte distingué, Diego de Villanueva, championintransigeant du purisme à l'Académie contre Ventura Rodriguez, il est le plus spontanémentclassique des architectes de son temps.

Publié le 22/05/2020

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Juan de Villanueva1739-1811Fils de sculpteur, frère cadet d'un architecte distingué, Diego de Villanueva, championintransigeant du purisme à l'Académie contre Ventura Rodriguez, il est le plus spontanémentclassique des architectes de son temps. Ce document contient 268 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Culture générale.

« Juan de Villanueva 1739-1811 Fils de sculpteur, frère cadet d'un architecte distingué, Diego de Villanueva, champion intransigeant du purisme à l'Académie contre Ventura Rodriguez, il est le plus spontanément classique des architectes de son temps.

Pensionné à Rome, il y passe sept années (1758-1765), puis, alors qu'il s'est ennuyé en Andalousie où il a été chargé de dessiner les monuments arabes, il s'éprend de Escorial.

Il réside constamment de 1768 à 1771, étudiant 1' œ uvre de Herrera, dont il est à beaucoup d'égards un fils spirituel ; il y construit en partie les “ Casas de Oficios ” qui vont à cette époque encadrer les façades du nord et de l'est, et les petits palais destinés aux Infants ou aux ministres.

En 1774, Villanueva se fixe à Madrid, devient en 1786 architecte principal de la ville, en 1789 architecte en chef des palais royaux.

Son activité, considérable, est pratiquement limitée à Madrid et, sauf une exception (l'oratoire du Caballero de Gracia, élevé en 1794, véritable basilique romaine en miniature), à des constructions civiles.

Toutes révèlent un tempérament d'architecte-né, qui recherche la perfection dans la sobriété, excelle dans la distribution des masses, des pleins et des vides, en donnant le maximum d'élégance et de vie à des édifices généralement de proportions modestes et dépourvus de tout ornement.

Les principaux sont : le portail du Jardin botanique (1774-1781), la façade de l'Ayuntamiento sur la Calle Mayor (1787), l'Académie de l'Histoire (1788), l'Observatoire astronomique (1790).

Son œ uvre maîtresse reste le Musée du Prado, destiné d'abord à être musée d'histoire naturelle, et commencé en 1785, création noble et harmonieuse entre toutes celles du néo-classicisme espagnol.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles