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Journée des barricades - Le duc de Guise, chef de la Ligue catholique, est entré dans Paris le 8mai 1588, malgré l'interdiction du roi.

Publié le 22/05/2020

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12 mai 1588. Le duc Henri de Guise, chef des ligueurs, étant venu à Paris à l'appel des Seize, Henri III donna l'ordre à 4 000 Suisses et à 2 000 gardes d'occuper la capitale. À l'appel des Seize, le peuple parisien barra les rues avec des chaînes, des pavés, des tonneaux, des barriques et paralysa les Suisses et les gardes. Henri III abandonna le lendemain sa capitale aux ligueurs. 26 août 1648. Durant la Fronde, à la suite de l'arrestation sur ordre d'Anne d'Autriche, des magistrats Broussel, Charton et Blancmesnil, les Parisiens élevèrent des barricades et obtinrent la libération de Broussel (28 août). Voir BROUSSEL et FRONDE. Semaine des barricades d'Alger (24 janv./1er févr. 1960). Elle fut organisée par les chefs activistes des Français d'Algérie (Ortiz, Susini, Lagaillarde) pour manifester leur opposition à la politique d'autodétermination définie par le président de Gaulle en sept. 1959.

« Journée des barricades Le duc de Guise, chef de la Ligue catholique, est entré dans Paris le 8 mai 1588, malgré l'interdiction du roi.

Paris reproche à Henri III d'avoir laissé s'enfuir ceux des protestants qui ont réussi à échapper à Guise, à Vimory et à Auneau à la fin de l'année précédente, comme elle reproche au roi la cherté du pain, comme le clergé raille les prières et les pénitences du roi.

Le roi reçoit Guise avec froideur.

Le lendemain, Guise revient avec 400 amis armés.

Pour se protéger, le roi fait appel à 4 000 Suisses et à 2 000 gardes français.

Paris, dont seule la municipalité a le droit de lever des troupes dans la ville, ne tolère pas cet affront et se couvre de barricades.

Seul Guise qui répond à ceux qui le saluent d'un “ Vive Guise ! ” par “ Criez aussi vive le roi ! ” parvient à ramener le calme.

Il passe pour être le maître de Paris.

Le lendemain le roi s'enfuit.. »

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