Journal de bord (critiques spectacles première année djl)
Publié le 06/03/2024
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JOURNAL DE BORD
DES
JEUNES ET DES LETTRES
Sommaire :
La seconde surprise de l’amour (De
Marivaux)
Le cocu imaginaire (De Molière)
Le souffleur (D’Emmanuel Vacca)
Candide (De Voltaire)
Zoo (de Vercors
OUM (de Fouad Boussouf)
L’avare (de Molière)
La seconde surprise de l’amour
Mise en scène par Alain Françon
C’est l’histoire d’une marquise, veuve et inconsolable, et un
chevalier, qui est amoureux, trahi et éploré qui se rencontrent
et partagent la douleur de leur solitude.
Peu à peu, au fil de
leurs échanges, ils commencent à s’apprécier, à s’aimer mais ni
l’un ni l’autre n’est sûr de ce qu’il ressent.
Le décor de la pièce représente un jardin, qui est commun aux
maisons des personnages principaux.
Comme on le voit sur
l’image ci-dessus, le décor n’est pas très réaliste de par sa
simplicité.
Toutefois, le fait qu’il soit simple n’enlève rien à son
charme, car je l’ai bien aimé.
J’ai apprécié les costumes portés, car ils ne sont pas
contemporains par rapport à l’époque où se joue la pièce, mais
restent tout de même actuels, ce qui permet de s’identifier aux
personnages.
Par ailleurs, je trouve que les vêtements portés
correspondaient très bien à la personne qui les portaient.
On
peut citer la marquise, qui portait une robe noire, de toute
évidence par rapport à deuil, mais qui restait tout de même
classe, synonyme de son rang.
Lisette quant à elle était vêtue
d’une robe blanche, simple et belle, un habit qui conviendrait
parfaitement à la jeune suivante de la marquise.
Je trouve aussi que le jeu des acteurs était très bien réalisé,
concordant tout à faitement à l’idée que l’on se ferait d’une
marquise, ou d’un chevalier.
Le personnage que j’ai préféré était Lisette.
L’humour qu’elle
apporte à la pièce change vraiment la donne, car il n’est pas
facile de rester attentif tout au long de la pièce avec une diction
aussi monotone.
Tout ça fait que j’ai vraiment aimé cette pièce.
Recherche 1 :
En 1548, l’hôtel de Bourgogne est vendu par François 1er, ce qui
explique sa conversion en théâtre, qui accueillera par la suite
les Confrères de la Passion, comédiens français.
Jusqu’en 1548, les Confrères de la Passion présentaient dans
l’Hôtel de Flandres des mystères et autres moralités, qui sont
une branche spécifique du théâtre médiéval.
Ils profitèrent de
la vente du terrain de l’Hôtel de Bourgogne pour acquérir leur
propre salle.
Au début, les confrères voulurent reprendre leur
répertoire.
Cependant, le Parlement de Paris s’y opposa et ils
durent se renouveler.
Ils durent alors se concentrer sur les
pièces profanes, tout en constatant la conservation de leur
supériorité sur cette branche du théâtre.
Toutefois, ils
continuèrent à affronter le Parlement en s’emparant des pièces
religieuses.
Le XVIIe siècle, ou le combat permanent des Confrères de la
Passion avec les autres troupes Cependant, le début du XVIIe
siècle est encore marqué par des luttes entre les Confrères de
la Passion et des troupes de comédiens, qui comprenaient les
comédiens italiens autour de leur coexistence sur la scène de
l’Hôtel de Bourgogne.
Malgré tout, l’aventure des Confrères de
la Passion prend fin en 1677.
A cette date, la confrérie est
dissoute.
La salle de la Comédie italienne En 1680, Louis XIV décide de
rassembler la troupe des anciens Confrères et celle du Théâtre
du Marais : il lance alors la Comédie Française qui s’installa
dans l’Hôtel Guénégaud, rue des Archives.
Le théâtre de l’Hôtel
de Bourgogne est alors attribué à la Comédie Italienne.
Toutefois, les comédiens italiens furent chassés en 1697, après
s’être moqués de Madame de Maintenon.
La troupe trouva
ensuite une protection avec le Régent en 1716.
Ils se mirent
alors à rivaliser avec l’Opéra-Comique, naissant dans les Foires,
jusqu’à leur départ en 1783.
Ils investirent la Salle Favart.
Recherche 5 :
Jean Antoine Houdon, né à Versailles en 1741 et mort en 1828
à Paris est un célèbre sculpteur, souvent surnommé le
sculpteur des lumières, car il a sculpté pendant les Années
Lumières, et parfois pour les philosophes du même nom.
Il fut
très régulier dans la publication de ses œuvres, surtout lorsque
l’on voit la période dans laquelle il a vécu.
De 1769 à 1795, il
présenta tous les deux ans un nombre assez important de
sculptures.
Par la suite, ses envois, moins importants, furent
aussi moins réguliers et s’arrêtèrent après 1814 : Il était en
possession d’une fortune plus que suffisante, et l’âge se faisait
ressentir.
Parmi ses œuvres les plus connues, on trouve Morphée :
Morphée est, dans la mythologie grecque, l'un des mille enfants
du Sommeil (Hypnos) et de la Nuit (Nyx) ; il est chargé de
prendre l'aspect d'êtres humains dans les rêves (d'où son nom
Morpheus qui signifie "qui reproduit la forme").
Morphée est
souvent représenté comme un jeune homme tenant un miroir
d’une main et des pavots soporifiques de l’autre, avec des ailes
de papillon battant rapidement et silencieusement.
Jean Antoine Houdon est aussi l’auteur d’autres œuvres
connues, pour n’en citer qu’une seule, L’Hiver, ou La frileuse :
Une jeune fille se tient debout, à
demi dévêtue, serrant dans ses bras
un châle qui recouvre seulement sa
tête, ses épaules et une partie de
son buste.
Derrière elle à ses pieds,
un vase que le gel a fait éclater.
Houdon se montre audacieux et
innovateur en découvrant cette
gracieuse jeune fille.
Le traitement
de la matière, la fermeté des
volumes, définis avec une pureté
innocente, faits pour toucher les
sens du spectateur effaroucha les
académies mais assura par là même
son incroyable succès.
L’œuvre a
été offerte au musée Fabre en 1828
avec son pendant, l’Eté, par le
Sganarelle ou le cocu imaginaire
Mise en scène par Milena Vlach et Jean-Denis Monory
Martine et Sganarelle sont mariés.
Célie et Lélie sont très
amoureux.
Célie se croit délaissée par Lélie, et s’évanouit dans
les bras de Sganarelle puis perd un bijou qui lui vient de son
cher et tendre.
Martine, la femme de Sganarelle, surprend le
couple depuis sa fenêtre, et ramasse le bijou que Célie, qu’elle
croit par conséquent sa rivale, a oublié.
Sganarelle voyant alors
l’objet dans les mains de sa femme, imagine sans réfléchir
qu’elle le cocufie… Et le soupçon d’infidélité, tel un redoutable
virus, contamine un à un tous les personnages de l’intrigue :
chacun à son tour devient un « Cocu imaginaire ».
Dans cette mise en scène par Milena Vlach et Jean-Denis
Monory, les décors sont très représentatifs de ce qu’ils sont
censés être, c’est-à-dire un grenier.
On en retrouve d’ailleurs
tous les éléments, comme par exemple le faible éclairage des
bougies, ou encore le vieux porte-vêtements empli de costumes
très représentatifs de l’époque correspondante (robes
bouffantes, amas de tissus informes…).
On peut même dire que
cette pièce relève du baroque, avec le fond de teint blanc qui
les fait ressembler à des fantômes, leur réactions exagérées,
etc.
Il faut un petit temps d’adaptation, avant de pouvoir
pleinement apprécier la pièce, dû à la diction qui est l’originelle
(et par conséquent étrange) et de l’originalité de la pièce
entière.
On retrouve de la musique très originale ,car elle est
produite avec une machine qui fonctionne avec des cartons
crées par le comédien qui la joue, Jean-Marc Puigserver.
Elle
intervient dans les moments où la parole n’est plus nécessaire,
où la musique la remplace et exprime mieux ce que les
metteurs en scène voulaient nous faire comprendre.
Pour finir, j’ai vraiment aimé cette pièce car elle met en place
un bouche à oreille particulièrement drôle.
Par ailleurs, le
bouche à oreille est un phénomène qui existe de nos jours, ce
qui fait que la pièce reste d’actualité et n’est pas complétement
« d’autre fois ».
L’effet baroque crée par tous les éléments de
la scène donnent assurément une touche d’originalité à cette
représentation.
Recherche 1 :
Narcisse est une huile sur toile réalisée par Caravage et peinte
à la fin du 17ème siècle, plus exactement en 1598.
Cette
œuvre – l'une des plus célèbres du peintre de la Renaissance
italienne – témoigne du génie de Caravage et de sa maîtrise du
clair-obscur.
Le clair-obscur le contraste entre zones claires et
zones sombres.
Elle peut aussi suggérer du relief par l'effet de
la lumière sur les volumes.
L’œuvre est mainetenant conservée
à la galerie nationale d’Art ancien de Rome, au palais Barberini.
La date précise de réalisation ainsi que le commanditaire du
tableau font encore débat chez les historiens de l’art.
Sur cette toile, on observe un jeune garçon qui demeure éclairé
dans un environnement qui lui, ne l’est pas.
Il est agenouillé au
bord d’une étendue d’eau et s’appuie sur ses mains.
Il
contemple son propre reflet qui apparaît à la surface de
l’eau alors qu’il se désaltère.
Il s’agit de Narcisse, en clair
obscur.
La décollation de saint Jean Baptiste.
Ce tableau, une huile sur
toile peinte en 1608, nous montre l’exécution du saint
précédemment cité.
Il est actuellement conservé à la Cocathédrale Saint-Jean de La Valette.
Méduse.
Cette fois, cette œuvre est réalisée....
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