Jean-Baptiste Poquelin, appelé molière , est un comédien et dramaturge français né en janvier 1622 et mort le 17 février 1673.
Publié le 23/05/2020
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Jean-Baptiste Poquelin, appelé molière , est un comédien et dramaturge français né en janvier 1622 et mort le 17 février 1673. Ce document contient 401 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Littérature.
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Jean-Baptiste Poquelin, appelé molière , est un comédien et dramaturge français né en janvier
1622 et mort le 17 février 1673.
Il publie de nombreuses pièce dont certaines font scandale tél
Tartuffe ou Don Juan.
Par la suite il publie Le Misanthrope une pièce écrite en 1666.
Nous nous
situons à l’acte III scène 4 deux personnages prennes la parole avec deux tirades se
ressemblant.
Nous verrons en quoi les tirades d’Arsinoé et Celiméne sont similaires.
Tout d’abords les deux personnages dés le début de leurs tirades disent que leur
avis ne viennent pas directement d’elle.
Arsinoé elle dit que l’avis vient des gens chez
qui elle est allé la veille « Je viens par un avis qui touche votre honneur, [...]Hier j’étais
chez des gens de vertu singulière »(vers 883,885).
Céliméne elle dit que sont avis
vient de quelques gens qu’elle a trouvai en utilisant comme première phrase la mème
que celle d’Arsinoé « [...]un avis qui touche votre honneur,[…] je trouvai quelques
gens d’un très rare mérite, » ( vers 916-922).
Premièrement Arsinoé expliqua ce que
les gens ont dit sur Céliméne « votre galanterie, et les bruits qu’elle excite trouvèrent
des censeurs plus qu’il n’aurait fallut, et bien plus rigoureux que je n’eusse voulu.
»
( vers 890-893).
Céliméne fit la méme chose elle dit ce que les gens on dit sur Arsinoé
mes d’un discours plus long (vers 925-944).
Apres avoir dit ce que les gens pensait
des deux personnages Arsinoé et Céliméne vont directement dire qu’elle on prit le
coté de leur amie « Vous pouvez bien penser quel parti je sus prendre je fis ce que je
pus pour pouvoir vous défendre » vers ( 893-894); « pour moi, contre chacun je pris
votre défense et leur assurai fort que c’était médisance » (vers 945-946) ainsi après
ces phrase d’amitié les deux personnages utilise la conjonction (mais) pour exprimez
leurs avis Arsinoé du vers 897 au vers 904 et Céliméne du vers 945 au vers 956.
La
tirade de Arsinoé finis avec un paragraphe qui fut copié par toute lettre de la part de
Céliméne « Madame, je vous crois l’âme trop raisonnable, pour ne pas prendre bien
cet avis profitable et pour l’attribuer qu’aux mouvement secrets d‘un zèle qui m’attache
à tous vos intérêts.
»(vers 909-812 (pour Arsinoé)vers 957-960(pour Céliméne)
Nous pouvons dire que les tirades des deux personnages hypocrite sont similaires car elles
utilise le même plan ainsi que les mêmes arrières pensée..
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