Jamaïque (2003-2004): Une économie toujours fragile
Publié le 17/09/2020
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Jamaïque (2003-2004): Une économie toujours fragile
Le tourisme, pilier de l’économie jamaïcaine, a enregistré un record de 1,34
million de visiteurs en 2003 et de nombreux hôtels étaient en cours de
construction.
La production de bauxite et de sucre (principales exportations)
était en hausse, ainsi que les transferts financiers effectués par les émigrés.
La dette nationale globale a cependant atteint 150 % du PIB et les bailleurs de
fonds étrangers ne cessaient de lancer des mises en garde.
De plus, l’économie est menacée par le niveau élevé de la violence, liée à la
drogue.
Amnesty International a également dénoncé l’impunité dont bénéficie la
police, responsable de la mort de 114 personnes en 2003 sans en avoir été
inquiétée.
Le Parti travailliste jamaïcain (JLP, opposition) a pris le contrôle de 12 des
13 conseils provinciaux lors des élections locales de juillet 2003.
Mais son
vieux leader, Edward Seaga, s’est vu menacé par l’élection, en novembre suivant,
de deux rivaux aux postes d’adjoints de la direction.
En janvier 2004, il a
cependant réussi à se faire réélire comme chef du parti, face aux
contestataires, notamment la section «jeunesse» du JLP.
En mars 2004, le gouvernement a temporairement accueilli l’ancien président
haïtien Jean-Bertrand Aristide, en signe de protestation des pays de la région
contre le rôle joué par les États-Unis dans son renversement et contre les
fortes pressions – voire les menaces – exercées par Washington pour amener ces
pays à reconnaître le nouveau régime.
Des centaines de boat-people haïtiens ont
fui vers la Jamaïque début 2004..
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