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irving FISHER

Publié le 01/08/2020

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« En menant cette analyse, Fisher s'éloigne de l'orthodoxie monétariste puisqu'il considère que, au moins à court terme, la diminution de la masse monétaire et de la vitesse de circulation contribue à la chute de la production et de l'emploi. la nécessaire intervention de l'Etat Cette approche conduit I. Fisher à reconnaître la nécessité de l'intervention de l'Etat pour relancer l'activité lorsque l'économie est déprimée, et cela, dès les premiers signes récessifs de façon à éviter une chute trop importante de l'activité: "les grandes dépressions peuvent être éliminées et prévenues à travers la relance et la stabilisation". ...»

« irving FISHER Ces deux maux économiques, la maladie de la dette et la maladie de l'indice des prix, sont des causes plus im­ portantes des grands booms et des grandes dépressions que toutes les autres causes réunies.

La théorie des grandes dépressions, 1933 Irving Fisher est né à Saugeries aux Etats-Unis en 1867, il est mort à New York en 1947.

Il fit ses études puis enseigna à l'Université de Yale, avant de devenir entrepreneur.

Ses contribu­ tions à l'analyse économique consistent essentiellement dans sa formulation de la théorie quantitative de la monnaie et dans son analyse des crises de surendettement.

la théorie quantitative de la monnaie Dans son ouvrage "le pouvoir d'achat de la monnaie" publié en 1912, Fisher formule la célèbre équation selon laquelle: MV+M'V'=PT M et M' désignent respectivement la masse de monnaie ma­ nuelle et scripturale, V et V' la vitesse de circulation respective de ces deux masses monétaires, P le niveau des prix et T le volume des transactions.

Cette équation de Fisher a servi d'appui au point de vue de l'école monétariste selon laquelle l'inflation résulte d'une émission monétaire excessive par rapport aux capacités de production.

En considérant que T, le volume des transactions, est constant, parce que le niveau de production dépend des quantités de facteurs disponibles et que les mécanismes du marché concurrentiel conduisent à une pleine utilisation de ces facteurs; en posant éga­ lement comme hypothèse que les vitesses de circulation de la. »

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