Introduction et conclusion de 6ème crise d’extinction
Publié le 08/12/2021
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Introduction
La Terre est peuplée de 6 milliards d'êtres humains et d'environ 10 millions à 40 millions d'espèces dont seulement environ 2 millions ont été décrites.
De nombreux scientifiques pensent que nous vivons actuellement une 6ème crise d'extinction, le rythme s'est accéléré considérablement (par 6) validée par la disparition croissante d'écosystèmes et des plantes et animaux qui les constituent. L'origine de cette crise est liée aux multiples activités humaines. Apparue tardivement sur Terre (il y a 2 millions d'années), l'espèce humaine a très vite dégradé son environnement, souvent de manière irréversible pour la biodiversité. Tout d'abord par la domestication du feu (il y a 450 000 ans), puis par l'agriculture et l'élevage (il y a 10 000ans) et par la révolution industrielle depuis deux siècles. Ainsi, les humains sont à l'origine d'une forte augmentation du taux d'extinction des espèces.
L'expansion démographique, la destruction des habitats naturels, la surexploitation des ressources naturelles, les pollutions, les espèces invasives et le changement climatique peuvent expliquer l'érosion de la biodiversité.
Cependant l'homme participe à la préservation de la biodiversité (parcs nationaux, jardins zoologiques et botaniques, aires marines,...).
Pour les oiseaux en Bretagne, certaines espèces ont disparues de la région : sur 170 espèces nicheuses en Bretagne, 36 sont en situation précaire (moins de 100 couples recensés)
En cause, des espèces invasives sont apparues : elles sont arrivées par extension de leur répartition (par exemple, actuellement, on trouve l'aigrette dans toute la Bretagne alors que c'est plutôt une espèce du sud). En Bretagne, il y a un réseau de suivi des oiseaux (plus de 1000 points d'observation).
Selon des études, les deux tiers de l'ensemble des espèces vivant sur Terre risquent de s'éteindre d'ici 100 ans simplement sous l'effet de la destruction de leurs habitats. Il est possible d'affirmer, même si ces études donnent encore lieu à des discussions, que l'on se trouve dans une période d'extinction massive. Et c'est pourquoi, depuis une quinzaine d'années, des objectifs de protection des espèces et de leurs habitats ont été adoptés à différentes échelles.
On est donc dans la 6ème crise d'extinction des espèces : ce qui est gênant, c'est quelle est beaucoup plus rapide que tout ce qu'on a connu jusqu'ici.
Conclusion
Alors que nous entrons dans la 6ème crise d'extinction de masse, il est grand temps - et nous en avons les moyens - de réconcilier l'humain avec la nature. « Il nous faut convaincre nos contemporains que la modernité est dans la coexistence de l'homme avec la nature sauvage, et non dans le triomphe de l'un sur l'autre .
En effet, nous pouvons vivre bien, avec des activités économiquement rentables et socialement bénéfiques, tout en préservant la biodiversité. Protéger, restaurer les écosystèmes à l'échelle mondiale permettra de freiner l'extinction en masse des espèces et de réhabiliter les précieux services écologiques qu'ils fournissent.
Introduction
La Terre est peuplée de 6 milliards d'êtres humains et d'environ 10 millions à 40 millions d'espèces dont seulement environ 2 millions ont été décrites.
De nombreux scientifiques pensent que nous vivons actuellement une 6ème crise d'extinction, le rythme s'est accéléré considérablement (par 6) validée par la disparition croissante d'écosystèmes et des plantes et animaux qui les constituent. L'origine de cette crise est liée aux multiples activités humaines. Apparue tardivement sur Terre (il y a 2 millions d'années), l'espèce humaine a très vite dégradé son environnement, souvent de manière irréversible pour la biodiversité. Tout d'abord par la domestication du feu (il y a 450 000 ans), puis par l'agriculture et l'élevage (il y a 10 000ans) et par la révolution industrielle depuis deux siècles. Ainsi, les humains sont à l'origine d'une forte augmentation du taux d'extinction des espèces.
L'expansion démographique, la destruction des habitats naturels, la surexploitation des ressources naturelles, les pollutions, les espèces invasives et le changement climatique peuvent expliquer l'érosion de la biodiversité.
Cependant l'homme participe à la préservation de la biodiversité (parcs nationaux, jardins zoologiques et botaniques, aires marines,...).
Pour les oiseaux en Bretagne, certaines espèces ont disparues de la région : sur 170 espèces nicheuses en Bretagne, 36 sont en situation précaire (moins de 100 couples recensés)
En cause, des espèces invasives sont apparues : elles sont arrivées par extension de leur répartition (par exemple, actuellement, on trouve l'aigrette dans toute la Bretagne alors que c'est plutôt une espèce du sud). En Bretagne, il y a un réseau de suivi des oiseaux (plus de 1000 points d'observation).
Selon des études, les deux tiers de l'ensemble des espèces vivant sur Terre risquent de s'éteindre d'ici 100 ans simplement sous l'effet de la destruction de leurs habitats. Il est possible d'affirmer, même si ces études donnent encore lieu à des discussions, que l'on se trouve dans une période d'extinction massive. Et c'est pourquoi, depuis une quinzaine d'années, des objectifs de protection des espèces et de leurs habitats ont été adoptés à différentes échelles.
On est donc dans la 6ème crise d'extinction des espèces : ce qui est gênant, c'est quelle est beaucoup plus rapide que tout ce qu'on a connu jusqu'ici.
Conclusion
Alors que nous entrons dans la 6ème crise d'extinction de masse, il est grand temps - et nous en avons les moyens - de réconcilier l'humain avec la nature. « Il nous faut convaincre nos contemporains que la modernité est dans la coexistence de l'homme avec la nature sauvage, et non dans le triomphe de l'un sur l'autre .
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