Introduction à l'archéologie médiévale
Publié le 17/03/2025
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Archéologie Médiévale
Introduction à la discipline
Les médiévistes sont nombreux au sein de la recherche humaines et sociales, ce sont des enseignements, des
médiévistes du CNRS ou l’INRAP.
Leurs apports à l’histoire ont été important dans la géologie, l’anthropologie et la
géographie.
Les médiévistes excellent dans l’espace urbain, site de stratification.
Ils mettent en œuvre une réflexion
théorique pour inventer des éléments conceptuels.
Il existe un engouement pour le millénaire du Moyen-âge.
Les
pionniers amènent leurs résultats au grand public en réveillant la curiosité en attirant des objets familiers du paysage
quotidien comme l’incendie de Notre-Dame de Paris.
Du 5ème au 16ème s’implique des temps inconnus par des éléments
que nous a légués des bâtiments du quotidien.
Les documents de l’archéologue sont encore enfuis et invisibles.
Le Moyen Age théorique
Les intellectuelles ont souhaité marquer leurs différences en se nommant la Renaissance en qualifiant la période
séparée de l’Antiquité en rupture, cette période est composée entre deux périodes prestigieuses.
Le Moyen Age est
défini comme un négatif de l’Antiquité.
Il était envisagé comme un bloc indifférencié avec beaucoup de partis
inconnus : maintenant on en distingue deux, le Haut et le Bas.
Le premier se décline en deux périodes : un héritage
Antique et le tournent de la féodalité.
Les débats sur les découpages sont liés à des débats idéologiques dont les
chercheurs ont débattu sur la révolution de l’an mil.
Dans les années 60-70 l’archéologie était tributaire de ce débat
en se démarquant.
Les documents archéologiques permettent de dire que le Moyen Age du 12ème siècle n’a rien avoir
avec ce qu’il était avant.
La compréhension des rythmes a été liées par l’invention du therme Renaissance remanié par
des historiens et des historiens de l’art selon laquelle on pourrait intégrer le 16ème siècle dans le Moyen Age.
La Naissance de l’archéologie médiévale
Sous l’impulsion de divers mouvement politique et romantique appuyé par le romantisme le Moyen Age connait un
renouveau avec un véritable engouement (littérature, peinture, architecture…) qui n’est pas propre à la France.
Après
la mise en scène de débris lapidaires (pierre) et les tombeaux médiévaux d’Alexandra Lenoir (95-1816) les créations
artistique sud Moyen Age seront nombreuses.
Ces collections sont issues de destruction révolutionnaire et de
nombreux édifices religieux.
Cet engouement se manifeste par des reprises à l’Antiquité le théâtre, la peinture, les
romains… Les églises néogothiques sont construites dans un style médiévisant, style inspiré du Moyen Age mais qui
s’éloigne du modèle d’origine.
A cette époque apparait les premières institutions patrimoniales, en 1830 est créé le
premier poste d’inspecteur du Monument historique ainsi que le comité des Arts et des Eléments accompagnés d’une
structure de la recherche par le biais des sociétés savantes.
On doit beaucoup à Arcisse de Gaumont pour sa future
création de la société française d’archéologie.
Victor Hugo participe au mouvement en publiant Notre Dame de Paris
où l’action est censée se passer fin 15ème, prétexte pour critiquer els architectes contemporains et leurs préservations.
En 1844-45 le chantier de Notre Dame réapparait avec Viollet le Duc.
C’est sous le second empire que l’art gothique
montre un engouement avec différent chantier de restauration comme le château de Pierrefonds.
L’archéologie
médiéval nait comme une science avec la création d’un enseignement à l’école des Chartes à partir de 1847, il nait les
catégorisations de l’art roman avec l’enseignement et l’art gothique.
L’archéologie médiéval est considérée comme
l’enquête qui vise à établir une Histoire de l’art avec come sujet premier les Eglises.
Les images du Moyen Age
permettent d’introduire un attrait dans l’imaginaire collectif a été réintroduit par le biais de l’art et de la
communication.
En France l’archéologie nationale releva d’une célébration nationale.
On se focalise sur le culte
catholique et de ses trésors sur l’académisme des styles romans et gothiques.
Le Moyen Age n’a pas fait l’objet de
fouille archéologique, ce n’est qu’au 20ème siècle qu’est fondé le premier centre archéologique médiéval à l’université
de Caen où sera fondé la revue archéologie médiévale et que sera publié le 1er manuel.
Le contexte de sa naissance
est militant, elle se définit d’abord contre l’histoire fait uniquement par les textes.
On mise sur la documentation par
la fouille stratigraphique de résidences séniories, Eglise, château.
L’archéologie urbaine nait dans les années 70.
Vers
l’an mil la motte est une arme pour la révolution.
Les archéologues médiévistes n’ont pas su établir un dialogue
interdisciplinaire.
L’archéologie a emprunté à l’ethnologie au départ, ainsi que de la culture matérielle basé sur la base
matérielle des rapports de production : l’outils, l’objets avec les recherches naturelles ou son milieu, l’expérience de
l’hommes dans le processus de production (ses techniques), l’utilisation des produits)
La spécificité des méthodes
Une définition large d’une source archéologique permette de les séparer des sources écrites et figurés, on y range les
sources directes, objets fabriqués, le foyer pour faire cuire / sources indirects, formes d’un champ, activités, conditions
de vie ou de morts des hommes.
Ce sont des traces matérielles transmis involontairement jusqu’à nous.
L’organisation
des cites délivrent bien un message, toutes traces données par une sépultures touchent le plus profonds d’une
croyance.
La spécificité des sources archéologiques
Comme tous les vestiges du passé les sources sont fragiles, les pertes qui pèsent sur les traces matérielles sont
accélérés par le temps.
Les traces parcellaires disparaissent par de remembrement rural.
Les modifications du paysage
ont pu être accompagnés de prospection ou de fouille.
La pratique a été lancé après la SGM par les ravages de
bombardements en Angleterre ou en Allemagne par le réaménagement, réhabilitation ou de travaux publiques.
Cela
amène le développement dit....
»
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