Ingrat us unus miseris omnibus nocet / Un seul ingrat nuit à tous les pauvres
Publié le 02/01/2022
Extrait du document
Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Ingrat us unus miseris omnibus nocet / Un seul ingrat nuit à tous les pauvres. Ce document contient 142 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format PDF sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en: Citations.
«
lngratus 11nus 111iseris o"'nibllS nocet
Un seul ingrat nuit à tous les pauvres
c·ctte expression, qui déplore l'ingratitude humaine et souligne que les
ingrats sont condamnables non seulement pour leur façon d'agir mais
pour le préjudice qu'ils portent aux personnes qui auraient besoin
d'être aidées, dérive d'une sentence de Publilius Syrus (1 14); elle
tigure dans les Libri proverbiorum du Pseudo-Bède (Pl 90, 1099c) et
d"Otloh
de Saint-Emmeran (Pl 146, 31 Sa); un passage du De officiis
cicéronien (2, 18, 63 ), plusieurs fois cité par les auteurs du Moyen-Age
( notamment par Hildebert de Lavardin,
Moralis philosophia, Pl 171,
1018b ), dit en substance la même chose : Omnes enim immemorem
heneficii oderunt eamque iniuriam in deterrenda liberalilate sibi etiam
tieri qumque qui facial communem hostem tenuiorem putant,
> (l'adage Omnes immemorem bene
lic·ii oderunt connut également une certaine fortune).
Parmi les sen
tences médiévales, outre
la for111ule de Publilius Syrus (Walther
12406; cf.
aussi 8117, 2), on po1111ait citer d'innombrables variantes
sur
ce thème, parmi lesquelles : Nil homine terra peius ingrato creat,
> (Walther 16 72 ;
cf.
16867); Dixeris ingratum, dixeris omne malum, > (7225a ; cf.
13 700 ; 14326 )..
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Nuit rhénane Guillaume Apollinaire
- Nuit Rhénane, Guillaume Apollinaire
- nuit rhénane
- Voyage au bout de la nuit, Céline : un avortement clandestin
- Etude linéaire princesse de Clèves: « Sitôt que la nuit fut venue »