hologramme.
Publié le 08/12/2021
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hologramme. n.m., support matériel d'une image holographique (c'est-à-dire une image
ayant exactement l'apparence de l'objet représenté).
Réalisation d'un hologramme.
Le faisceau lumineux issu du laser d'éclairage est divisé en deux parties, dont l'une
(faisceau de référence) est envoyée directement sur la plaque holographique, l'autre
servant à éclairer l'objet dont on veut faire une image holographique. La lumière diffusée
par l'objet interfère avec la lumière de référence au niveau de la plaque, donnant un réseau
de franges d'interférences qui impressionne la plaque. Celle-ci est ensuite développée.
Complétez votre recherche en consultant :
Les médias
hologramme - réalisation
Les livres
hologramme - réalisation et lecture d'un hologramme, page 2377, volume 5
Lecture de l'hologramme.
Lorsqu'on éclaire la plaque holographique développée par un faisceau identique au faisceau
de référence, la lumière diffractée par les franges d'interférences inscrites sur la plaque
reconstitue un faisceau identique à celui qui provenait de l'objet au cours de l'impression.
Les ondes diffractées se combinent aussi pour donner une image réelle, symétrique de
l'image virtuelle par rapport à la plaque holographique.
Ces deux images sont, à la symétrie près, strictement identiques à l'objet ; l'oeil ne
peut faire la différence et croit voir l'objet, avec sa profondeur et sa perspective.
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Les livres
hologramme - réalisation et lecture d'un hologramme, page 2377, volume 5
Propriétés des hologrammes.
L'utilisation du laser est nécessaire pour assurer la cohérence entre le faisceau de référence
et le faisceau issu de l'objet. Pour la lecture, on peut parfois remplacer le laser par d'autres
sources dont la cohérence, bien que beaucoup moins étendue, est suffisante pour le
faisceau qui entre dans l'oeil.
La formation des franges d'interférences se produit sur toute la surface de
l'hologramme, et cela pour tous les points de l'objet. Chaque fraction de l'hologramme
contient ainsi toute l'information de l'ensemble de l'objet. On peut donc couper un
hologramme en morceaux, et chaque fragment permet de voir l'intégralité de l'objet, mais
avec une définition d'autant moins bonne que le fragment est plus petit.
Si on lit un hologramme avec une lumière dont la couleur, donc la longueur d'onde, est
différente de celle avec laquelle il a été fait, on obtient une image holographique de l'objet,
mais agrandie ou réduite suivant que la longueur d'onde de lecture est supérieure ou
inférieure à celle d'écriture.
Complétez votre recherche en consultant :
Les livres
hologramme - un hologramme circulaire, page 2377, volume 5
Applications des hologrammes.
Les images holographiques d'objets ont un intérêt artistique ; elles peuvent aussi
remplacer des archives photographiques. La possibilité d'écrire et de lire des hologrammes
avec des rayonnements différents permet d'envisager, par exemple lorsque des lasers à
rayons X seront utilisables, de « voir « des atomes en lisant en lumière visible
l'hologramme d'un cristal écrit avec des rayons X. Une utilisation intéressante de
l'holographie consiste à faire coïncider l'image d'un hologramme, fabriqué au préalable, d'un
objet non déformé avec l'objet lui-même, par exemple soumis à des contraintes. Si l'objet
et l'image ne se superposent pas exactement, les franges d'interférences qui apparaissent
à la surface de l'objet permettent de visualiser et de mesurer l'écart et, donc, les
déformations de l'objet sous contraintes. Cette méthode a déjà connu des applications
industrielles.
Il est également possible de fabriquer l'hologramme d'un objet de façon entièrement
informatique, en calculant pour chaque point de l'hologramme le champ lumineux émis par
l'objet et le champ d'interférences qui en résulte. Chaque point est alors noirci suivant un
code approprié, et l'image s'obtient de façon habituelle. Cette méthode est laborieuse, et la
définition des images obtenues pour l'instant n'est pas considérable, mais elle permet de
réaliser des hologrammes d'objets non « holographiables « directement (trop grands, par
exemple). Voir aussi holographie.
Complétez votre recherche en consultant :
Les corrélats
holographie
Les livres
laser - création d'un hologramme, page 2811, volume 5
hologramme. n.m., support matériel d'une image holographique (c'est-à-dire une image
ayant exactement l'apparence de l'objet représenté).
Réalisation d'un hologramme.
Le faisceau lumineux issu du laser d'éclairage est divisé en deux parties, dont l'une
(faisceau de référence) est envoyée directement sur la plaque holographique, l'autre
servant à éclairer l'objet dont on veut faire une image holographique. La lumière diffusée
par l'objet interfère avec la lumière de référence au niveau de la plaque, donnant un réseau
de franges d'interférences qui impressionne la plaque. Celle-ci est ensuite développée.
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Les médias
hologramme - réalisation
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hologramme - réalisation et lecture d'un hologramme, page 2377, volume 5
Lecture de l'hologramme.
Lorsqu'on éclaire la plaque holographique développée par un faisceau identique au faisceau
de référence, la lumière diffractée par les franges d'interférences inscrites sur la plaque
reconstitue un faisceau identique à celui qui provenait de l'objet au cours de l'impression.
Les ondes diffractées se combinent aussi pour donner une image réelle, symétrique de
l'image virtuelle par rapport à la plaque holographique.
Ces deux images sont, à la symétrie près, strictement identiques à l'objet ; l'oeil ne
peut faire la différence et croit voir l'objet, avec sa profondeur et sa perspective.
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hologramme - réalisation et lecture d'un hologramme, page 2377, volume 5
Propriétés des hologrammes.
L'utilisation du laser est nécessaire pour assurer la cohérence entre le faisceau de référence
et le faisceau issu de l'objet. Pour la lecture, on peut parfois remplacer le laser par d'autres
sources dont la cohérence, bien que beaucoup moins étendue, est suffisante pour le
faisceau qui entre dans l'oeil.
La formation des franges d'interférences se produit sur toute la surface de
l'hologramme, et cela pour tous les points de l'objet. Chaque fraction de l'hologramme
contient ainsi toute l'information de l'ensemble de l'objet. On peut donc couper un
hologramme en morceaux, et chaque fragment permet de voir l'intégralité de l'objet, mais
avec une définition d'autant moins bonne que le fragment est plus petit.
Si on lit un hologramme avec une lumière dont la couleur, donc la longueur d'onde, est
différente de celle avec laquelle il a été fait, on obtient une image holographique de l'objet,
mais agrandie ou réduite suivant que la longueur d'onde de lecture est supérieure ou
inférieure à celle d'écriture.
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hologramme - un hologramme circulaire, page 2377, volume 5
Applications des hologrammes.
Les images holographiques d'objets ont un intérêt artistique ; elles peuvent aussi
remplacer des archives photographiques. La possibilité d'écrire et de lire des hologrammes
avec des rayonnements différents permet d'envisager, par exemple lorsque des lasers à
rayons X seront utilisables, de « voir « des atomes en lisant en lumière visible
l'hologramme d'un cristal écrit avec des rayons X. Une utilisation intéressante de
l'holographie consiste à faire coïncider l'image d'un hologramme, fabriqué au préalable, d'un
objet non déformé avec l'objet lui-même, par exemple soumis à des contraintes. Si l'objet
et l'image ne se superposent pas exactement, les franges d'interférences qui apparaissent
à la surface de l'objet permettent de visualiser et de mesurer l'écart et, donc, les
déformations de l'objet sous contraintes. Cette méthode a déjà connu des applications
industrielles.
Il est également possible de fabriquer l'hologramme d'un objet de façon entièrement
informatique, en calculant pour chaque point de l'hologramme le champ lumineux émis par
l'objet et le champ d'interférences qui en résulte. Chaque point est alors noirci suivant un
code approprié, et l'image s'obtient de façon habituelle. Cette méthode est laborieuse, et la
définition des images obtenues pour l'instant n'est pas considérable, mais elle permet de
réaliser des hologrammes d'objets non « holographiables « directement (trop grands, par
exemple). Voir aussi holographie.
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Les corrélats
holographie
Les livres
laser - création d'un hologramme, page 2811, volume 5
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