Hobbes: citoyen et liberté

« Philo : explication de texte «Hunger Games» est une tétralogie cinématographique de science-fiction américaine réalisée par Gary Ross.

Cette tétralogie raconte l’histoire d’une mise en place d’un nouveau gouvernement en Amérique, le Capitole, qui est formé de treize districts sévèrement contrôlés.

Chaque années, dans chaque districts, un garçon est une fille (âgés de 12 à 18 ans) sont tirés au sort et n’ont donc pas le choix de participer à un jeu téléviser : « Les Hungers Games » où ils devront s’affronter dans une arène au cours d’un combat à mort dans lequel il n’y aura qu’un seul vainqueur. Dans cette tétralogie, on peut donc s’interroger sur la notion de la liberté des habitants gouvernés par le Capitole tout comme le fait Hobbes dans son texte nommé « Le citoyen » écrit en 1642.

A travers cet extrait, Hobbes s'interroge sur la définition de la liberté.

On pourrait donc se demander si l'homme est-il libre d'agir comme il le souhaite alors qu'il existe de nombreux empêchements. La réponse apportée par Hobbes montre qu'il soutient l'idée que la liberté permet à l'homme de faire ce qu'il veut, où il veut et quand il le veut à partir du moment où il n'est pas soumis à des contraintes, des empêchements physiques. Premièrement, Hobbes définit la liberté en donnant un exemple précis pour illustrer son propos.

Puis, il montre que la liberté dépend de différents empêchements avant de conclure dans un dernier temps sur le fait que les hommes disposent de plus ou moins d'égalité, donc de libertés selon leur classe social mais finissent tout de même par obéir aux mêmes lois.

Tout d'abord, Hobbes définit la liberté en donnant un exemple précis. En effet, ce dernier commence part donner la définition générale de la liberté («Communément» l.1) afin d'éclairer le lecteur, dès l'entrée, sur la question.

Selon tous les citoyens, la liberté serait d e faire tout ce que nous pensons être approprié sans punition (« impunément » l.2), c'est à dire sans conséquences et la soumission (« servitude » l.3) serait une restriction à cette liberté car la servitude dominent la liberté de l'homme car celui-ci est contraint d'obéir et de respecter ces lois donner par l'état car il n'en a pas le choix pour être libre. Hors, Hobbes va contraster son propos en donnant sa propre définition de la liberté puisque nous ne savons pas l'interpréter nous même («on le prend fort mal de ce biais-là» l.4).

Il affirme alors que de son point de vue («Voici quel est mon raisonnement» l.7-8), les citoyens ne seront jamais libre car cette liberté est contrôler, elle est entre les mains de l’État qui imposent des lois.

Les citoyens obéissent à celles-ci qui accorderont plus ou moins d'espace aux citoyens.

On peut donc dire que l'homme est bel et bien soumis à l'état, au gouvernement en appliquant ces lois. Ensuite, Hobbes donne un exemple précis pour illustrer sa définition de la liberté.

Ici, Hobbes prend l'exemple de l'eau que l'on peut qualifier, interpréter comme étant le peuple et le vase que l'on peut interpréter comme étant l’État.

Dans le cas de son exemple, Hobbes semble insinuer que si le vase (l’État) n'existe plus, l'eau (le peuple) se retrouverait alors libre («lorsqu’il se rompt elle recouvre la liberté» l.12) .

Ainsi, pour que le peuple soit libre il serait nécessaire de ne plus avoir d’état et donc de vivre sûrement dans une anarchie.

Ainsi, on a pu voir dans un premier temps que notre auteur dénonce en quelque sorte la République et l’État puisque ceux-ci ne respectent pas véritablement la notion de la liberté puisque les citoyens sont soumis à des règles, des lois qui sont pour Hobbes des empêchements.

Ensuite, on verra donc que la liberté dépend bien des différents empêchements.

On peut constater que la liberté dépend de différents empêchements. Les empêchements extérieurs par exemple De cette façon, une personne jouit plus ou moins de liberté, selon l'espace qui lui est donné ; comme dans une prison étroite, il est beaucoup plus difficile d'emprisonner. »