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handicap

Publié le 23/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : handicap Ce document contient 309 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Psychologie.

« Sur le modèle du texte de Montesquieu Si j’avais à soutenir le droit que nous devons enlever les barrières à la scolarisation des enfants handicapés, voici ce que je dirais : Nous rêvons tous de faire qu’une personne porteuse d’handicap vive comme tout le monde, dans la norme.

Comme on dit l’enfer est pavé de bonnes intentions….

L’handicap est une partie de l’être qui le porte.

Nier l’handicap c’est donc nier aussi la personne qui le porte. Nier c’est le contraire d’accepter. L’acceptation passe par la reconnaissance. Le bien-être mental de tout à chacun passe par l’acceptation. Refuser, c’est une façon de dire que l’handicap ne peut-être que négatif et ou inacceptable. Or, après une décennie (2005 – 2015), la France a adopté le modèle de l’école inclusive.

Une inclusion bien réussie où seuls 6 % des jeunes adultes handicapés de moins de 24 ans sont diplômés de l’enseignement supérieur, contre 30 % pour l’ensemble de la population.

Que ces élèves soi-disant bien intégrés à des classes ordinaires ne sont pas toujours bien encadrés : il n’existe pas assez d’auxiliaires de vie scolaire pour les accompagner. Que la perception scolaire de ces élèves différents est souvent négative : les préjugés et la non-sensibilité des élèves normaux au handicap.

Que les parents d’un élève handicapé sont confrontés à un quotidien difficile sans aucune préparation, Il est certain que la vision du handicap ramène à nos propres peurs, notre propre peur de décroître physiquement, ne serait-ce que de vieillir, notre peur de la différence… à notre propre acceptation… Ne fermons pas les yeux, ne mettons pas d’œillères et regardons l’être tel qu’il est avec ses difficultés et ses qualités… Il est impossible que nous supposions que ces êtres soient normaux ; parce que, si nous les supposions personnes normales, on commencerait à croire que nous sommes si tolérants à leur intégration dans le milieu scolaire.. »

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