H. de TOULOUSE-LAUTREC:SOUVENIR D'AUTEUIL.Avant de se tourner vers les cocottes

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de TOULOUSE-LAUTREC SOUVENIR D'AUTEUIL Avant de se tourner vers les cocottes et les bordels, Toulouse-Lautrec, encore adolescent, observe les chevaux et les cavaliers.

Dès sa plus tendre enfance, le jeune Henri de Toulouse-Lautrec baigne dans une atmosphère où l'ar t le dispute ou cheval et à la chasse.

Son père pratique en effet la peinture anima­ lière et se veut un grand chasseur.

Sa grand­ mère paternelle n'a vai t-elle pas coutume de dire: «Si mes fils tuent une bécasse, elle leur donne trois plaisirs: le coup de fusil, le coup de fourchette et le coup de crayon ...

» LE CONTEXTE Très tôt, Toulouse-Lautrec, attiré aussi par le cirque, dessine chiens el chevaux.

En l 872, lorsque la famille s'installe à Paris, près de la Madeleine, il rencontre le peintre animalier René Princeleau , dont il va peu à peu fréquenter l'ate lier au 233, rue du Faubourg Saint-Honoré.

Princeleou, qui éloil sourd­ muel, s'était en effet spécialisé dans les scènes de chasse et de chevaux, et se révéla un excellent professeur.

De plus, son atelier était fréquenté par des peintres tels que Forain ou john Lewis Brown, qui réalisaient le même type de tableaux.

Sur la toile , Lautrec s'est représenté au fond en compagnie de Princeteau, pendant que son père, le comte Alphonse de Toulouse-Lau­ trec, surveille un garçon qui panse un cheval de course.

L'HOMME On peut situer les premiers essais de peinture de T oulouse-Loutrec ve rs l 878.

Ils sont sûre­ ment en rapport avec son immobilité forcée: en moi de la même année, atteint d'une maladie osseuse rare, la pychodysostase, il LA CO TE U n croqu is de chevau x de 1881 s'est vendu 2 5 000 FF (4 500 doll ar s} à Lon dres en 1 9 9 3 , tand is. »