Guyane française (1998-1999): Critique de l'assistanat
Publié le 15/09/2020
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Guyane française 1998-1999
Critique de l'assistanat
Les conseils général et régional de ce département français d'outre-mer (DOM)
peu développé ont déclaré en février 1999 ne plus vouloir "subir le dénigrement
de l'assistanat" et ont appelé le pouvoir à créer une assemblée unique, dotée
d'une large autonomie.
Ils ont également exprimé leurs doutes au sujet du projet
de créer un parc naturel de 2,5 millions d'hectares qui couvrirait un tiers de
ce territoire qui exporte or, crevettes, riz, bois et bananes.
Les activités du
Centre spatial à Kourou restaient très importantes.
Les autorités se sont rapprochées du Suriname fin 1998, après quinze ans de
froideur liée aux troubles politiques existant chez leur voisin.
Un accord
visant à lutter contre le trafic de drogue a été signé.
Un autre accord conclu
en mars 1999 avec le Brésil a prévu l'achèvement d'une route entre les deux
pays.
La députée guyanaise Christiane Taubira-Delannon (parti Radical de gauche) a
demandé en octobre 1998 au gouvernement français le paiement de réparations aux
descendants des esclaves, et a fait approuver un projet de loi en février 1999
pour qualifier l'esclavage de crime contre l'humanité..
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