Guillaume Henry Dufour1787-1875Issu d'une vieille famille genevoise émigrée à Constance où il naquit et rentrée au pays natal en 1789.
Publié le 23/05/2020
Extrait du document
Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Guillaume Henry Dufour (1787-1875) Issu d'une vieille famille genevoise émigrée à Constance où il naquit et rentrée au pays natal en 1789. Ce document contient 253 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Culture générale.
Général suisse. Après avoir participé aux campagnes napoléoniennes, il entra en 1817 au service de la Confédération et fonda en 1819 l'école militaire de Thoune, où il dirigea l'instruction jusqu'en 1830. Chef d'état-major général en 1831, il présida à l'établissement de la carte topographique de Suisse, dite « carte Dufour » (1842-64). Au début de la guerre du Sonderbund, en 1847, il fut nommé général commandant en chef de l'armée fédérale. Il mena la campagne avec rapidité et humanité, et, en un mois, mit fin à la guerre par la prise de Fribourg (14 nov.) et de Lucerne (24 nov. 1847). Il présida, en 1863, la conférence de Genève, où fut fondé le Comité International de La Croix-Rouge (v.).
«
Guillaume Henry Dufour
1787-1875
Issu d'une vieille famille genevoise émigrée à Constance où il naquit et rentrée au pays natal
en 1789.
Après l'incorporation du territoire genevois à la France, il fut admis à l'École
polytechnique de Paris (1807) puis passa un an à l'École de guerre de Metz dans le génie et fit
les dernières campagnes du Premier Empire.
Après les Cent-Jours il fut renvoyé chez lui avec
la croix de la Légion d'honneur.
Instructeur en chef de l'École militaire de Thoune, il devint,
dès 1831, chef de l'état-major général de l'armée fédérale qu'il réorganisa, tout en menant de
1833 à 1865 la réfection de la carte topographique de la Suisse, qui porta son nom.
Mais les
qualités humaines s'alliaient en lui à la science militaire et son pays sut faire appel à lui dans
les situations difficiles : lors de la révolte des cantons catholiques du Sonderbund, il réduisit
en deux mois, avec habileté et humanité une insurrection qui aurait pu être la plus sanglante
des guerres civiles suisses et qui, grâce à lui, ne laissa pas de rancune entre les confédérés.
Ses
relations personnelles d'amitié avec Napoléon III lui permirent de régler certains différends
internationaux.
On fit encore appel à lui lors des troubles de Neuchâtel (1856) et des
problèmes de frontières pendant la guerre franco-autrichienne de 1859.
Enfin il soutint Henri
Dunant dans la fondation de la Croix-Rouge et présida en 1864 la Conférence internationale
relative au traitement des blessés en temps de guerre, d'où sortit la Convention de Genève..
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Hincmar par Jacques DuboisMoine bénédictin Hincmar naquit vers 806 d'une famille noble, dont on ne connaît ni le nomni le pays.
- FRANÇOIS DE SALES, saint (21 août 1567-28 décembre 1622) Prêtre, docteur de l'Eglise Genevoise, sa famille est de vieille noblesse paysanne, catholique et de culture française.
- Fiche de révision EAF oral sur Cahier d'un retour au pays natal
- Colette, Sido: « Point de chemin de fer dans mon pays natal, point d'électricité, point de collège proche, ni de grande ville. ». Commentaire
- BEL AMI, Guy de MAUPASSANT Retour au pays natal Deuxième partie, chapitre 1 Depuis « C'étaient deux paysans… » à « … elle qui ne rêvait pas d'ordinaire ? »