Grand oral physique: les missiles balistiques.

« INTRODUCTION Bonjour, je m'appelle XXX et je vais vous présenter aujourd'hui mon sujet de physique-chimie qui tourne autour de quelque chose qui m’a toujours fasciné : les missiles balistiques. La puissance des missiles a été fortement développée durant la Seconde Guerre mondiale. Et c'est en 1944, que les premiers missiles balistiques font leurs apparitions.

Ces nouvelles créations destructives vont même être craintes par leurs propres créateurs.

En effet, en 1950, c'est dans un contexte de guerre froide et de course à l'armement que les américains et les russes vont inventer de nouvelles roquettes.

Leur but est simple, détruire un missile balistique avant que celui-ci n'atteigne le sol.

On appelle cet arsenal « missiles Antibalistiques ».

Étant très efficace et capable de pratiquement tout contrer, la crainte des différents pays va se dissiper.

Toutefois, avec les avancées technologiques de notre génération, une question se pose en problématique : « Certains missiles peuvent-ils empêcher le fonctionnement des missiles antibalistiques ? » Après avoir introduit et présenter ces missiles et les lois de physique qui permettent leurs fonctionnements, nous verrons ensuite pourquoi le nouveau missile russe, Satan 2, est plus que jamais menaçant pour notre sécurité PARTIE 1 (MISSILES BALISTIQUES) Tout d'abord, Qu'est-ce qu'un missile balistique ? C'est un type de missile puissant conçu pour envoyer des projectiles souvent nucléaires sur de grandes distances vers une cible prédéterminée.

Les missiles balistiques sont équipés de systèmes de guidages sophistiques bases sur des technologies inertiels et satellitaires, pour assurer une précision maximale lors de l’acheminement des charges utiles vers leurs cible.

En effet, ces missiles sont des armes redoutables qui ont la particularité d'être lancés avec une trajectoire nommé balistique puisque la majorité du temps de parcours de l’arme est de nature balistique.

Cette trajectoire est la même qu'un lancer de javelot, c'est-à-dire influencée uniquement par la gravité en supposant que les forces de frottements sont négligeables à cause de la vitesse supersonique acquise par la force de propulsion.

On peut très bien schématiser ce phénomène comme j'ai pu le faire sur la feuille devant vous.

Mais comment tout cela fonctionne-il ? On décompose souvent le lancement d'un missile balistique en trois étapes. Tout d'abord, la propulsion surnommé la phase d’accélération qui n'est pas balistique puisqu'elle est essentiellement soumise à la force propulsive des moteurs .

Elle dure environ 3 min jusqu'à ce que l'engin se situe environ à 500 km au-dessus de la surface terrestre, Puis, il y a la phase balistique qui débute lorsque le missile sort de l’atmosphère et dure entre 10 et 30 minutes et C'est le moment où il ne reste que le projectile dans l'espace.

Il va suivre, selon la première loi de Kepler, une ellipse que j'ai représentée sur la feuille, où le centre de la Terre est l'un des foyers.

Satan 2 va d'abord monter dans l'atmosphère, pour ensuite avec la force de gravitation redescendre vers notre planète.

Dans le référentiel terrestre, supposé galiléen, on peut donc étudier le mouvement de cette étape avec la seconde loi de Newton tout en prenant compte de la variation de la constante gravitationnelle au-delà de la terre. Grâce à ces lois, on peut déterminer le temp pour que le missile atteint sa cible, ainsi que déterminer sa portée qui s’agit de la distance entre la position du missile au départ et sa position en atteinte du sol et son apogée qui est caractériser par sa hauteur maximale.

Ces données sont essentielles pour le fonctionnement des missiles antibalistiques.

En effet, avec l'aide d'un ordinateur, il va y avoir un calcul de la trajectoire et la détermination de la vitesse du missile.

Ainsi, l’antimissile va être envoyé en fonction des résultats obtenus.

Depuis le développement de ces armes, les missiles balistiques sont devenus bien moins menaçant qu'auparavant. PARTIE 2 (NOUVEAUX MISSILES : SATAN 2 ou RS-28 SARMAT) Cependant, en 2022, les russes ont développé un nouveau missile balistique intercontinental, nommé Satan 2 ou bien RS-28 SARMAT grand frère de la roquette russe R-36 M.

il s’agit d’un.... »