Grand Oral HLP Faut-il se méfier de l’éloquence ?

« Faut-il se méfier de l’éloquence ? Mais d’abord, qu’est-ce que l’éloquence ? .

C’est un art, l’art de bien parler, l’art de bien faire comprendre nos idées, ce que l’on pense .

Une personne éloquente peut aussi donner une idée à l’auditeur sur un sujet seulement avec des mots.

Pour comprendre, il faut d’abord définir le langage.

Le langage c’est une fonction d'expression de la pensée et de communication entre les humains, mise en œuvre par la parole ou par l'écriture.

Du langage découle la langue qui est un système de signes vocaux, propre à une communauté d'individus, qui l'utilisent pour s'exprimer et communiquer entre eux.

Enfin, c’est a partir de la langue que découle ce qui nous intéresse, la parole.

La parole c’est la faculté de s'exprimer par le langage articulé.

C’est la parole qui fait aujourd’hui l’objet de notre débat. D’abord, nous allons définir qu’elle sont les deux pouvoirs que la parole a sur autrui.

Tout d’abord, la parole peut convaincre : Lorsque l’on parvient à convaincre quelqu’un c’est l’on est passer par un raisonnement logique, que l’on à fait appel à la raison.

Par un exemple lorsque un scientifique explique à quelqu’un que le terre est une sphère en s’appuyant sur des explication scientifique : il le convint.

A l’inverse la parole peut aussi servir à persuadé : Ici, quand on parviens à persuadé quelqu’un, c’est que nous avons jouer de ses sentiment et donc le raisonnement n’ai pas forcement logique et ne repose donc pas sur la raison.

Par exemple, ( à TROUVER). La littérature et la philosophie nous ont permit tout au long de leur histoire de comprendre ce qui peut faire de nous de bons orateurs : D’abord, dans son œuvre Rhétorique, Aristote ( grand philosophe grec du 4 avant notre ère ) nous apprend que pour qu’un discours soit efficace, il doit contenir ces 3 éléments : - ethos : liée à l’orateur.

Ethos, est le fait que l’orateur doit parfaitement connaître le sujet dont-il traite.

En effet, selon Aristote, pour qu’un discours soit « bon » et donc qu’il influence la vision de l’auditoire l’orateur doit connaître le sujet qu’il aborde.

Sinon, dans le cas où l’auditeur dit quelque chose de faux et que l’auditoire connaît le sujet abordée, alors l’auditeur perdra toute crédibilité et personne n’accordera d’importance à la suite discours.

C’est pour cela que pour Aristote, un bon orateur doit répondre au critère de « Pathos » - pathos : liée à l’auditoire.

C’est à dire que l’orateur doit tenir compte des personnes qui l’écoute et de leur connaissance afin que son discours ai un impacte sur eux.

Dans le cas où l’orateur sait qu’il s’adresse à des personnes qui n’ont pas de connaissance sur le sujet du discours, alors, ils peut leur faire croire ce qu’il veut à ce sujet.

Par exemple, une professeur d’allemand dit que à un professeur d’espagnol ( qui ne connaît pas du tout la langue allemande ) que en allemand aussi « hola» veut dire bonjour, alors le professeur d’espagnol.

Alors, le professeur d’allemand aura réussi à persuadé le professeur d’espagnol. - logos : liée a la structure du discours.

Ce terme se réfère à l'utilisation de la logique, de la raison et des arguments rationnels pour persuader un public.

Cela implique de présenter des faits, des preuves et des arguments rationnels de manière convaincante pour soutenir un point de vue ou une position.

En résumé, logos repose sur le raisonnement logique pour persuader les autres. La pièce Le Gorgias, de Platon. La pièce de Platon illustre parfaitement les deux idéologies opposée de la rhétorique.

Dans cette pièce, nous retrouvons Gorgias, qui est un professeur en rhétorique qui donne des cours a ses élèves.

Ce dernier est un sophiste.

Le sophiste utilisent un raisonnent trompeurs mais qui à une apparence logique.

Autrement dit, lors d’un débat le sophiste préfère remporté le débat plutôt que de se résoudre à la vérité.

De plus, les sophistes affirme que rien n’est vraiment logique donc n’importe quelle interprétation de la chose peut avoir du sens tant qu’elle est bien construite.En somme, pour eux la vérité n'est pas ce qui fonde le pouvoir et la légitimité du langage mais c'est plutôt le pouvoir du langage qui détermine la vérité et sa valeur.

.( AJOUTER UN EXEMPLE).

Dans Le Gorgias, c’est Socrate qui s’oppose à cette doctrine .

Effectivement, le fait que les arguments des sophistes s’adaptent a la cause défendu ne lui convient pas. Pour résumer, nous pouvons dire que "Le Gorgias" de Platon, la pièce explore deux idéologies opposé concernant la rhétorique et le discours.

Socrate représente une vision de la parole comme moyen de recherche de la vérité et de persuasion basée sur la raison .

Au contraire, Calliclès préfère une rhétorique de persuasion plus artificielle, basée sur le pouvoir et l'efficacité, sans se soucié de la vérité ou de la morale.

La.... »