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Grand Oral HLP Comment la violence génocidaire est-elle perçus par les enfants dans la littérature ?

Publié le 23/04/2025

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« Grand Oral HLP Comment la violence génocidaire est-elle perçus par les enfants dans la littérature ? INTRO : La violence génocidaire constitue l’une des causes de souffrances les plus extrême de l’humanité.

Cette forme de violence, caractérisée par l’extermination systémique d’un groupe de même ethnie, religion ou culture, soulève la question sur la capacité des jeunes à appréhender les horreurs du monde.

, notamment dans la littérature.

Ces dernières sont alors perçu de manière complexe.

Elles impactent évidement les enfants, leur laissant des souvenirs douloureux, des destinées chamboulées et le besoin de s’exprimer. C’est pourquoi nous essayerons de comprendre leurs points de vues sur la violence qu’ils ont vécus en étudiants des œuvres tel que Petit Pays, le journal D’Anne Frank ou encore un sac de billes, qui nous plonge dans l’horreur, leur regard innocent et les traumatismes qu’ils ont accumulés mais aussi avec les théories de Hannah Arendt sur la banalité du mal et de Sigmund Freud sur la reconstruction après les traumatismes,.

Nous commencerons par la représentation de la violence génocidaire dans la littérature puis avec les Mécanismes de défense et reconstruction psychique .

En outre, la question du devoir de mémoire envers les crimes contre l'humanité, en particulier les génocides, revêt une importance cruciale dans cette réflexion I-La représentation de la violence génocidaire dans la littérature : Alors tout d’abord je vais débuté en présentant différentes représentations littéraires qui démontrent la douleur des génocides. Commençons par "Petit Pays" de Gaël Faye.

Dans ce roman, Faye décrit la montée de la violence génocidaire au Burundi à travers les yeux d'un jeune garçon, Gaby.

Ce dernier est plongé dans l’horreur, pour se protégé et se rassuré il va se rapproché de sa bande de copain mais surtout il va écrire très souvent des lettres à son cousin Christian qui lui même serra victime de ce massacre. Gaël Faye explore les racines de la violence ethnique à travers les yeux de Gaby, qui tente de comprendre les raisons derrière ces actes inhumains.

Par exemple lorsque Gaby entend son père expliquer : "On tue parce qu'on a peur.

La peur, c'est le pire des monstres." Cette réflexion met en lumière la peur et la méfiance qui alimentent la violence génocidaire, même si elle est incompréhensible pour un enfant innocent comme Gaby.

Malheureusement il va réalisé la gravité de la situation à de nombreuse reprise lorsqu'il va voir son voisinage se déchiré par les conflits entre les tutsi et les hutus, avec des scènes de violence et de mort qui deviennent de plus en plus fréquentes.

Cette représentation met en lumière l'impact dévastateur de la violence sur les enfants, les plongeant dans la brutalité de l’histoire. Ensuite, dans "Le Journal d'Anne Frank", Anne décrit les horreurs de l'Holocauste alors qu'elle et sa famille se cachent des nazis pendant la Seconde Guerre mondiale au pays bas.

Sa manière d’échapper à cette réalité est d’écrire dans son journal à son amie imaginaire Kitty.

Un des passages saisissants du roman est celui où Anne écrit : "Les bruits des pas des soldats allemands résonnent dans ma tête jour et nuit." Cette description intense illustre l'angoisse constante et l'horreur de vivre dans la peur d'être découverts, plongeant ainsi le lecteur dans l'horreur de l'Holocauste.

Elle écrit aussi: "Je ne peux pas comprendre que les hommes puissent être si méchants." cella exprime une forme de sa perplexité face à la haine et à l'intolérance qui l’ont mené elle et toute une population à se cacher. Enfin, dans "Un sac de billes" de Joseph Joffo, les frères Joffo racontent leur fuite de Paris occupé par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale vers la zone libre.

L’une des premières scène de violence se passe cette fois si au cœur de la famille, le père met une gifle au plus grand des frères pour le préparer aux actes violents des nazis .Cette illustration poignante démontre la terreur et la confrontation à une réalité affreuse, les plongeant ainsi dans l'horreur de la guerre.

Par la suite similairement aux deux œuvres précédentes on observe leur incompréhension face à l'absurdité et la cruauté de l'antisémitisme nazi qui a motivé les actes inhumains commis pendant la Shoah par exemple Joseph écrit: "Ils détestent les Juifs, et ça suffit pour justifier leur haine." Dans l'ensemble, ces œuvres offrent des perspectives uniques sur l’histoire violente et les conséquences dévastatrices sur les jeunes individus, qui sont plongés dans l'horreur et qui porteront les cicatrices de ces traumatismes toute leur vies, malheureusement leur tentative de fuir ces affreuses étapes de vies ils se retrouvent obligés de s’y confrontés malgré leur incompréhension face à la cruauté du monde. Deuxième partie : Mécanismes de défense et reconstruction psychique Dans les œuvres littéraires que dont nous avons parlé précédamment, la théorie de la banalité du mal de Hannah Arendt trouve une résonance particulière.

Cette théorie suggère que les actes monstrueux peuvent être perpétrés non seulement par des individus démoniaques, mais aussi par des personnes ordinaires, simplement en suivant les ordres ou en se conformant à un système immoral.

Les enfants, en tant que témoins innocents de ces atrocités, sont confrontés à la difficulté de comprendre comment des adultes peuvent commettre de tels actes inhumains.

Dans "Un Sac de Billes", par exemple, les frères Joseph et Maurice Joffo sont confrontés à la cruauté des nazis, dont les actions semblent incompréhensibles pour des enfants innocents.

Cette incompréhension alimente leur sentiment de terreur et de désarroi face à un monde où le mal semble banalisé et normalisé. En effet Les enfants, en raison de leur innocence et de leur manque d'expérience, peuvent avoir du mal à comprendre la nature véritablement atroce des violences génocidaires.

Dans "Petit Pays", Gabriel, le jeune protagoniste, est confronté à la brutalité de la guerre civile au Burundi sans vraiment comprendre les motivations derrière ces actes de violence.

De même, dans "Le Journal d'Anne Frank", Anne et sa famille sont contraints de se cacher pendant l'holocauste, sans pouvoir saisir pleinement la portée de la haine et de la discrimination dont ls sont victimes en tant que Juifs. Cette incompréhension peut entraîner chez les enfants un sentiment de confusion, d'angoisse et de perte d'innocence alors qu'ils tentent de donner un.... »

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