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Grand oral du bac : LE CYCLISME

Publié le 18/05/2020

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« Sports Volonté de vaincre, dépassement de soi et résistance à la souffrance sont quelques-unes des vertus quotidiennes des adeptes de la «petite reine».

Dans l'enfer des pavés du Paris-Roubaix ou sur les pistes, les coureurs ont fait entrer le cyclisme dans l'épopée de notre siècle.

Même si l'époque est aux nouvelles technologies, le meilleur vélo ne fera jamais gagner une course à un rouleur «du dimanche» ...

L es Anglais, considérant que rien dans la chose sportive ne leur est totalement étran­ ger, se sont convaincus que l'humanité leur doit la découverte du vélocipède.

Ils soutiennent donc cette thèse et avancent pour preuve un vitrail de l'église Saint-Gilles, édifiée en 1642, à Stocke Poges, en Angleterre, qui montre un ange chevauchant ce que l'on peut légitimement considérer comme un ancêtre de la bicyclette.

La fierté nationale des Britanniques dût-elle en souf­ frir, force est de constater que déjà en Égyp te, au seuil du temple d'Amon à Louksor , sur l'obé­ lisque érigé sous Ramsés II et Aménophis 1", des hiéroglyphes représentent un homme sur un mor­ ceau de bois relié par deux cercles.

Soit quelque 1 400 ans avant notre ère ...

Les ancêtres de la bicyclette Le passage de la représentation graphique à la réalisation technique est opéré par un Français, le comte de Sivrac, en 1791.

Son engin, que l'on peut désormais qualifier de première ébauche de la bicyclette, s'appelle le célérifère (du latin celer, «rapide» et ferre, ��porter»).

Il comporte une i Le grand succès A du vélocipède gagne toutes les classes sociales comme en témoigne ce Portrait de Blanche d'Antigny par Betinet (musée de Sceaux).

� Le Français Rousseau pendant l'épreuve de vitesse de l'Open des nations en 1997.

L'année précédente, Il a remporté l'épreuve durant l'Open de France.

poutre de bois reliant deux roues placées entre deux fourches.

Rapidement, le célérifère prend le nom de vélocifère, tandis que son conducteur est surnommé le «vélocipède» (avec le temps ce terme désignera l'engin lui-même).

Le vélocifère devient donc un amusement à la mode adopté par les «merveilleux», les «incroyables» et autres muscadins qui s'élancent dans tes jardins du Palais-Royal.

Les jeunes dandys de t'époque l'enfourchent avec plaisir et s'aident des pieds pour pousser leur engin sans freins ni pédales.

La draisienne d'un Allemand, le baron Karl Friedrich Drais von Sauerbronn (1785-1851) qui voit le jour en 1818 à Paris, apporte au vélocifère un perfectionnement considérable.

La drai­ sienne, à l'instar de l'ancien célérifère, possède deux roues et avance toujours grâce à la poussée alternative des pieds, mais sa roue avant est orientable, ce qui rend la machine plus mania­ ble.

Alors qu'elle tombe dans un oubli relatif de lflliiiiiL\ii Lrs deux-roues p.

1113 Le motocyclisme p.

2663 L'olympisme p.

2891 Fair< du spart p.

3941 Spart et t Paris à Rouen (soit à peu près 120 kilomètres) en moins de 11 heures.. »

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