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Grand oral du bac : BOURSE ET MARCHÉS FINANCIERS

Publié le 18/05/2020

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« Économie Capital et capitalisme p.

591 Le commerce mondial p.

863 Les moyens de communication p.

87 Les crises économiques p.

973 La crise de 1929 p.

977 L'économie p.

121 7 1 BOURSE 1 ET MARCHÉS FINANCIERS Inflation et déflation p.

1985 John M.

Keynes p.

2153 Les monnaies p.

26 7 7 Depuis les années 1970, les marchés financiers sont devenus, dans les pays industrialisés, la principale forme de financement de l'économie.

Sa mondialisation a contribué à décloisonner les économies nationales et à les rendre davantage dépendantes les unes des autres.

A vant l'invention de la monnaie, les échanges de biens se faisaient par le troc.

Cette formule a ses limites: il faut que deux personnes soient intéressées, au même moment, par le bien que détient l'autre.

Les échanges étant devenus de plus en plus complexes, il a fallu trou­ ver un intermédiaire permettant de faciliter les échanges de biens: ce fut la monnaie.

Parallèle­ ment à cette fonction de transaction, la monnaie permet de mesurer la valeur d'un bien: une pièce de dix francs permet d'acheter différents biens, alors que sa valeur intrinsèque reste intacte.

Enfin, la part de l'argent qu'on n'a pas dépensé po�r acquérir un bien peut être épargnée.

A l'origine, les monnaies d'échange étaient des objets tels que les pierres coupantes (silex, obsi­ dienne qui avaient une valeur utile propre), les pierres précieuses (émeraude, diamant) et les métaux rares (argent, or).

Ces objets précieux présentaient toutefois l'inconvénient d'être lourds et périlleux à transporter dans le cadre d'échanges et de transactions commerciales.

C'est pourquoi les intéressés instituèrent des transferts «virtuels •• de richesse par lettres de change et autres ordres inscrits sur le papier.

Cette révolution dans le transfert des richesses se poursuivit avec l'appa rition des billets de banque, imprimés et contrôlés par l'É tat, et les chèques émis et contrôlés par les banques.

À l'heure actuelle la monnaie revêt diverses formes.

Quand on utilise des pièces ou des billets, on parle de numéraire; quand il s'agit de dépôts à vue par exemple, on parle de monnaie scripturale.

En France, les échanges de monnaie par virement représentent à peu près 90% de la monnaie en circulation.

L'usage des cartes de crédit a considérablement développé la circula­ tion de monnaie virtuelle.

Les différents marchés financiers Le brassage continue) de l'argent se fait �elon les lois de l'économie.

A la base, chaque Etat gère son propre marché monétaire et sa monnaie, avec le concours des banques nationales et com­ merciales qui prennent en dépôt les richesses et les font circuler et fructifier selon les règles de l'offre et de la demande, l'essentiel étant de ne pas laisser de capacités financières inemployées.

Dans ce système où l'argent est lui-même produc­ teur d'argent, il est en circulation permanente, les banques gérant leur équilibre en alternant des périodes d'excédents ou de déficits.

Pour contrô­ ler les fluctuations du marché et garantir la bonne marche des institutions, et particulièrement pour accorder des prêts aux banques elles-mêmes quand elles en ont besoin, chaque État dispose d'une banque centrale: Banque de France, Bank of England ou Bundesbank en Allemagne.

La Banque de France est chargée de veiller au bon fonctionnement du système bancaire.

Elle a plusieurs fonctions: elle peut accorder des prêts à l'É tat, fixer les crédits qui sont concédés à l'ensemble des banques, exécuter la politique monétaire du pays.

Elle est en outre habilitée à émettre des billets.

.....

À cau�0 de l'interdit moral et religieux, le prêt d'argent échappa longtemp� aux banque� U�`V0 mont� 2RDf^f étaient de� forme� parallèle� d'échange monétaire.

! La bourse de Tokyo e�^ devenue en quelque� A décennie� l'une de� plu� importante� place� financière� du monde.

Reflet de la réu�ite économique du Japon, elle e�^ le fer de lance de tout le continent a�D+^DT`0 Marché monétaire, marché financier Le marché monétaire concerne les opérations à court terme (entre dix jours et sept ans).

ll garantit aux prêteurs la possibilité de retrouver leur argent rapidement.

Le but est de mettre en contact, par l'intermédiaire des courtiers, des établissements qui disposent de capitaux et entendent les faire fructifier en les prêtant avec intérêts à ceux qui en ont besoin.

Ces échanges de monnaie scripturale (c'est-à -dire que cette monnaie n'a d'existence matérielle que par le débit et le crédit portés sur les comptes bancaires respectifs) s'organisent autour de deux formes de marché monétaire.

L'une, le marché interbancaire, est réservé aux banques qui s'échangent leurs déficits et leurs excédents de trésorerie.

La seconde, le marché des titres courts, met en contact les banques, les entreprises, l'É tat et des investisseurs tels que les compagnies d'assurances, les caisses de retrai­ te.

Selon l'émetteur de l'emprunt, les titres négo­ ciables portent un nom différent: les entreprises créent des billets de trésorerie, les banques des certificats de dépôts, et l'É tat des bons du Trésor.

Les transactions sont toujours équivalentes ou supérieures à un million de francs.

Le marché financier concerne les opérations à long terme (au-delà de 7 ans).

On distingue le marché primaire, où les actions et les obligations sont émises (c'est-à-dire créées), et le marché. »

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