grand oral de SVT aborde le diabète de type 1
Publié le 02/01/2025
Extrait du document
«
Le développement complet de ce grand oral de SVT aborde le diabète de type 1 et les
solutions de la médecine moderne pouvant aider les patients.
On s’intéresse alors au
méthode déjà existante et à la gre e de cellule de pancréas qui peut-elle être une solution
pour les patients.
En quoi la gre e de cellules pancréatique peut-elle être béné que pour
les patients atteints de diabète de type 1?
Plan:
I) Qu’est ce que le diabète de type 1 et les méthodes actuelles
II) Comment la gre e de cellule de pancréas fonctionne-t-elle?
III) Résultats espérés et observés, est-ce l’avenir de la médecine?
Légende:
•(Réponse aux questions probables)
Intro:
J’aimerai vous parler aujourd’hui d’une maladie, une maladie que l’on considère silencieuse et qui
prend ces marques de plus en plus touchant presque 34 millions d’individus dans le parle.
Je
parle ici du diabète de type 1 qui touche 5 à 10% des diabétiques.
Le diabète est aujourd’hui
considéré comme un problème de santé majeur se manifestant par un excès de sucre dans le
sang, on appelle ça l’hyperglycémie et malgré les e orts de prévention, le taux de personnes
atteintes ne cesse d’augmenter chaque année majoritairement chez les moins de 5 ans.
En
France l’incidence annuelle du diabète chez les moins de 20 ans a doublé depuis le début des
années 2000.
Mais alors, qu’est-ce donc alors le diabète de type 1 pourquoi est-ce si inquiétant?
Le diabète de type 1 est une maladie auto-immune de manifestant par une produit nulle
d’insuline, c’est l’une des maladies auto-immunes la plus fréquente.
La maladie doit être traité
pour éviter toute aggravation et problème de santé (par ex: maladies cardiovasculaires)
aujourd’hui le traitement habituel repose sur des injections sous-cutanées d’insuline, plusieurs
fois par jour permettant de compenser son défaut de production.
Cependant, c’est un traitement
lourd et de nouvelles recherches innovantes voient le jour avec les avancées technologiques en
médecine.
Il est aujourd’hui question de la gre e de cellules pancréatiques, traitement développé
par Le professeur François Pattou depuis 30 ans avec son équipe à l’université de Lille.
On peut
alors se demander si la gre e de cellules pancréatiques peut être béné que pour le traitement
des patients atteints de diabète de type 1.
Plan:
I) Qu’est ce que le diabète de type 1
II) Le traitement aujourd’hui et qu’est ce que la gre e de cellule de pancréas?
III) Résultats espérés et observés, est-ce l’avenir de la médecine?
I)
Le diabète de type 1, c’est quoi, pourquoi et comment le traite t-on aujourd’hui?
J’ai pu abordé plusieurs notion au cours de l’introduction, je vais donc m’y attarder en détail.
Le diabète est donc bien un taux excessif de sucre dans le sang, l’hyperglycémie, il est reconnu
lorsqu’a-jeun on compte 1g ou plus de sucre par litre de sang.
Le diabète est dangereux puisque
trop de sucre endommage les vaisseaux sanguins et les organes, sans traitement on peut avoir
plusieurs complications: maladies cardiovasculaires (infarctus du myocarde, AVC,…) mais aussi
une cécité (absence partielle ou totale de vision due à une atteinte des yeux ou du cerveau), une
atteinte des reins (organe producteur et excréteur d’urine du haut appareil urinaire), du foie
(détoxique et métaboliser les molécules absorbées), etc.
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Le diabète met en jeu de nombreuses parties de l’organisme.
Le sucre est sous forme de
glucose, essentielle dans l’activité des cellules musculaires, le glucose et le dioxyde consommés
pour la production d’ATP(1), une molécule énergétique.
Les réserves de glucose sont stockées
sous forme de glycogène dans les cellules musculaires et hépatiques.
Elles permettent à
l’organisme d’entretenir le ux de glucose entre les organes sources (intestin et foie) et
consommateur (comme les muscles) .
Pour un bon fonctionnement de l’organisme, la glycémie
( teneur de sucre par litre de sang) doit être maintenue autour d’une valeur de consigne (entre 0,75
et 1,1 g/L ).
Chaque variation de glycémie s’accompagne d’un retour rapide à sa valeur de
consigne montrant la mise en jeu de mécanismes de régulation reposant sur des échanges de
glucose entre le sang et les organes.
Le contrôle de la glycémie est hormonal, le pancréas sécrète
des hormones grâce à des amas cellules appelés îlot de Langerhans.
Ils sont composés de
cellules α et β produisant respectivement les glucagon et l’insuline.
L’insuline est sécrétée pour
répondre à une hyperglycémie et est donc une hormone hypoglycémiante.
Elle exerce son action
sur le foie en stimulant la glycogénogenèse et inhibant la glycogénolyse.
Les glucagon est
sécrété pour répondre à une hypoglycémie et est donc une hormone hyperglycémiantes.
Il exerce
son action uniquement sur le foie de façon inverse à l’insuline.
Il y a deux types de diabète, le diabète de type 2 apparaît progressivement -et
silencieusement- avec le vieillissement même si les jeunes sont de plus en plus touchés.
Ce type
de diabète est dit insulinorésistant, les cellules cibles deviennent moins sensible à l’insuline.
Soit
l’insuline est moins e caces ou les cellules répondent moins bien à l’hormone.
Le diabète de type 1 lui est insulinodépendant.
Ce diabète est dû à une destruction des cellules
β des îlots de Langerhans; il en résulte une absence totale de sécrétion d’insuline.
C’est une
maladie auto-immune.
c’est-à-dire un dysfonctionnement du système immunitaire par lequel les
cellules de l’immunité s’attaque aux propres cellules de l’organisme.
Ce sont des lymphocytes qui
détruisent les cellules β reconnues à tort comme étrangères.
Sans insuline, la glycémie (le taux de
sucre dans le sang) est trop élevée en permanence, ce qui est grave, on l’a vu.
C’est une maladie
qui apparaît plutôt jeune, souvent à l’adolescence ou chez le jeune adulte, parfois même chez le
très jeune enfant.
Transition: Heureusement on a un traitement depuis des dizaines d’années : c’est l’injection
d’insuline.
C’est e cace chez la plupart des patients, même si c’est très contraignant avec le
contrôle systématique de sa glycémie, plusieurs piqûres d’insuline par jour avant les repas,etc.
II) La gre e de cellules pancréatiques, pourquoi et comment ça marche?
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Le traitement aujourd’hui est e cace certes mais ce n’est pas si simple, Les patients doivent
en permanence jongler avec leur taux de sucre, s’injecter l’insuline au bon moment, à la bonne
dose.
C’est délicat, car c’est une hormone très puissante.
Et trop d’insuline provoque
l’hypoglycémie, ce qui entraîne un malaise, voire un coma diabétique.
De plus, certaines
personnes n’arrivent jamais à stabiliser leur glycémie, d’autres n’y arrivent plus au bout de
plusieurs dizaines d’années d’injection.
Et là, le quotidien de ces patients devient un enfer, ils ont
des malaises fréquents, la maladie met en jeu leur vie.
L’idée de la gre e est alors que les patients n’aient plus besoin de s’injecter d’insuline.
Le but est
de remplacer les cellules du pancréas qui ont disparu en gre ant les cellules qui produisent
l’insuline provenant d’un donneur décédé.
Dit comme ça, ça paraît facile.
Sauf que depuis le
début des années 1990, il a fallu presque 30 ans et la collaboration d’une dizaine d’équipes dans
le monde, pour mettre au point cette technique et la valider.
En 2021 la Haute Autorité de santé a
donné son feu vert pour l’application clinique en France.
On prélève d’abord, sur un donneur décédé en état de mort cérébrale, le pancréas.
Il faut ensuite
en extraire les cellules bêta, qui sécrètent l’insuline.
Ces cellules particulières forment dans le
pancréas des îlots disséminés, constitués....
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